Colloque sur le coût du capital

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Participez au colloque sur le coût du capital !

Le Parti de Gauche vous invite au

COLLOQUE SUR LE COÛT DU CAPITAL

qui se tiendra le

Samedi 23 novembre 2013 de 13h30 à 18h00

à la Maison de la Chimie

28 rue Saint-Dominique – 75007 Paris

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Pour assister au colloque, inscrivez-vous ici

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Le Parti de Gauche vous invite au

COLLOQUE SUR LE COÛT DU CAPITAL

qui se tiendra le

Samedi 23 novembre 2013 de 13h30 à 18h00

à la Maison de la Chimie

28 rue Saint-Dominique – 75007 Paris

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Suspension de l’écotaxe : le gouvernement cède encore une fois au patronat !

20130801_autoroute_0293.jpg
Crédit photo photosdegauche.fr (michel_soudais)

La suppression de l’écotaxe poids lourds révèle une fois de plus l’inconsistance de la politique écologique, l’indécision permanente érigée en principe politique et l’inclination à céder à tous les chantages patronaux du gouvernement Ayrault.

L’écotaxe faisait une bien mauvaise politique écologique car elle ne s’attaquait pas vraiment au problème du recours massif au transport routier. En l’absence de régulation des échanges et de lutte contre le dumping social en vigueur en Europe, il sera toujours plus profitable de faire voyager 45000 porcs par an sur les routes européennes plutôt que de les abattre sur place. A cela le gouvernement ne s’est pas attaqué.

Par ailleurs, alors que cette taxe était censée inciter au report modal vers le fluvial et le ferroviaire, aucun plan de développement du fret n’était mis en oeuvre pour endiguer le flot toujours plus dense des camions sur nos routes.

Pour autant, la suspension de cette mesure montre la perméabilité du gouvernement aux discours patronaux, alors que les revendications des salariés sont systématiquement ignorées ! Cette suspension montre également l’incapacité de ce gouvernement à envisager de façon globale les raisons qui poussent les citoyens bretons à la colère. L’écotaxe était une farce, mais sa suspension l’est tout autant !

Suspension de l’écotaxe : le gouvernement cède encore une fois au patronat !

20130801_autoroute_0293.jpg
Crédit photo photosdegauche.fr (michel_soudais)

La suppression de l’écotaxe poids lourds révèle une fois de plus l’inconsistance de la politique écologique, l’indécision permanente érigée en principe politique et l’inclination à céder à tous les chantages patronaux du gouvernement Ayrault.

L’écotaxe faisait une bien mauvaise politique écologique car elle ne s’attaquait pas vraiment au problème du recours massif au transport routier. En l’absence de régulation des échanges et de lutte contre le dumping social en vigueur en Europe, il sera toujours plus profitable de faire voyager 45000 porcs par an sur les routes européennes plutôt que de les abattre sur place. A cela le gouvernement ne s’est pas attaqué.

Par ailleurs, alors que cette taxe était censée inciter au report modal vers le fluvial et le ferroviaire, aucun plan de développement du fret n’était mis en oeuvre pour endiguer le flot toujours plus dense des camions sur nos routes.

Pour autant, la suspension de cette mesure montre la perméabilité du gouvernement aux discours patronaux, alors que les revendications des salariés sont systématiquement ignorées ! Cette suspension montre également l’incapacité de ce gouvernement à envisager de façon globale les raisons qui poussent les citoyens bretons à la colère. L’écotaxe était une farce, mais sa suspension l’est tout autant !

Retraites : on ne lâche rien !

Pour nos retraites

Communiqué du collectif Retraites 2013 – 29 octobre 2013

Après l’adoption de la contre-réforme des retraites par une courte majorité à l’Assemblée Nationale, la mobilisation reste plus que jamais nécessaire ! C’est maintenant au Sénat que se tiennent les débats du 28 octobre au 5 novembre.

Le collectif unitaire retraites 2013 poursuit sa mobilisation contre un projet de réforme qui va poursuivre l’entreprise de démolition des retraites par répartition et contribuer à appauvrir davantage les futurs retraités.

Nous pensons qu’une autre réforme des retraites est possible : retraite à 60 ans, départs anticipés pour travaux pénibles… Les possibilités de financement existent : par exemple, en soumettant à cotisation les revenus financiers.

C’est pourquoi nous nous mobilisons pour que le Sénat rejette ce projet de réforme injuste et irresponsable. La bataille n’est pas terminée ! A ce titre, nous appelons à participer au rassemblement unitaire interprofessionnel qui se tiendra devant le Sénat, rue de Tournon, (Métro Odéon), le mercredi 30 octobre 2013 à 12H30.

Plus d’information : http://www.retraites2013.org/

Retraites : on ne lâche rien !

Pour nos retraites

Communiqué du collectif Retraites 2013 – 29 octobre 2013

Après l’adoption de la contre-réforme des retraites par une courte majorité à l’Assemblée Nationale, la mobilisation reste plus que jamais nécessaire ! C’est maintenant au Sénat que se tiennent les débats du 28 octobre au 5 novembre.

Le collectif unitaire retraites 2013 poursuit sa mobilisation contre un projet de réforme qui va poursuivre l’entreprise de démolition des retraites par répartition et contribuer à appauvrir davantage les futurs retraités.

Nous pensons qu’une autre réforme des retraites est possible : retraite à 60 ans, départs anticipés pour travaux pénibles… Les possibilités de financement existent : par exemple, en soumettant à cotisation les revenus financiers.

C’est pourquoi nous nous mobilisons pour que le Sénat rejette ce projet de réforme injuste et irresponsable. La bataille n’est pas terminée ! A ce titre, nous appelons à participer au rassemblement unitaire interprofessionnel qui se tiendra devant le Sénat, rue de Tournon, (Métro Odéon), le mercredi 30 octobre 2013 à 12H30.

Plus d’information : http://www.retraites2013.org/

Paris vu par le candidat du Front National

Present

« A Paris il n’y a plus que des bobos et des immigrés » , affirme Wallerand de Saint-Just, le candidat du Front national à la mairie de Paris, dans un entretien au quotidien maurasso-pétainiste Présent (29 octobre 2013). Qui ajoute aussitôt :

« C’est devenu une ville extrêmement pénible à vivre. »

Que ceux qui s’inquiéteraient pour lui se rassurent, il habite aujourd’hui les Hauts-de-Seine et n’est pas inscrit sur les listes électorales de la capitale.

Autre affirmation stupéfiante du candidat, par ailleurs avocat attitré des Le Pen, vice-président et trésorier du parti d’extrême droite, « si une grande partie des ménages de 30-35 ans quitte Paris pour partir en banlieue », ce n’est pas spécialement à cause du prix de l’immobilier :

« Hormis le prix exorbitant des loyers, ils partent d’abord à cause de leur enfants [qui] ne peuvent plus sortir seuls dans la rue et peuvent difficilement apprendre à l’école publique, où des dizaines de nationalités se côtoient. »

Comme on a l’habitude de dire à Politis, le Front national nouveau ressemble furieusement à l’ancien.

>>> Lire l’article original sur le site de Politis

Paris vu par le candidat du Front National

Present

« A Paris il n’y a plus que des bobos et des immigrés » , affirme Wallerand de Saint-Just, le candidat du Front national à la mairie de Paris, dans un entretien au quotidien maurasso-pétainiste Présent (29 octobre 2013). Qui ajoute aussitôt :

« C’est devenu une ville extrêmement pénible à vivre. »

Que ceux qui s’inquiéteraient pour lui se rassurent, il habite aujourd’hui les Hauts-de-Seine et n’est pas inscrit sur les listes électorales de la capitale.

Autre affirmation stupéfiante du candidat, par ailleurs avocat attitré des Le Pen, vice-président et trésorier du parti d’extrême droite, « si une grande partie des ménages de 30-35 ans quitte Paris pour partir en banlieue », ce n’est pas spécialement à cause du prix de l’immobilier :

« Hormis le prix exorbitant des loyers, ils partent d’abord à cause de leur enfants [qui] ne peuvent plus sortir seuls dans la rue et peuvent difficilement apprendre à l’école publique, où des dizaines de nationalités se côtoient. »

Comme on a l’habitude de dire à Politis, le Front national nouveau ressemble furieusement à l’ancien.

>>> Lire l’article original sur le site de Politis

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