Notre-Dame-des-Landes L’aéroport, c’est toujours NON !

Le comité 82 de soutien aux opposants à l’aéroport de Notre Dame des Landes appelle à un rassemblement :

le samedi 22 février à 10 heures devant la préfecture de Montauban.

Rassemblement en soutien aux opposants à NDDL et contre tous les grands projets inutiles.

2014-02-22_Manif_Affiches copie

Le PG soutient le peuple ukrainien, condamne les groupes fascistes et les ingérences étrangères

Le Parti de Gauche soutient le peuple ukrainien, condamne les groupes fascistes et les ingérences étrangères.

Les dernières heures furent tragiques pour les Ukrainiens, contraints de regarder leur pays s’enfoncer dans la violence. Les nombreux morts par balle dans les rangs de l’opposition comme dans ceux des forces de l’ordre sont les victimes des impérialismes qui sont à l’œuvre en Ukraine. Exacerbant les tensions nationalistes et une colère légitime de la population face au régime déliquescent, les Etats-Unis d’Amérique cherchent une fois de plus à détruire un Etat-Nation, à renverser un gouvernement soutenu par la Russie, pour un autre qui serait plus favorable à leurs intérêts. Bien que criminel et contestable à bien des égards (corruption, assassinats, et aujourd’hui mise en place de brigades illégales composées de civils partisans et de Titouchki – orphelins, repris de justice- pour renforcer la Police), le gouvernement en place fut élu, et la réforme des institutions ukrainiennes ne doit revenir qu’au peuple ukrainien et à lui seul.

Le déplacement de John McCain et la fuite de la récente conversation de la diplomate américaine Victoria Nuland en poste à Kiev ont confirmé la manière dont les Etats-Unis d’Amérique prennent part activement aux événements de contestation se déroulant en Ukraine, jusqu’à prétendre composer eux-mêmes le prochain pouvoir qu’ils voudraient voir en place !

Pour cela, ils n’hésitent pas à s’allier avec Svoboda, un parti néonazi, ex-Parti National-Socialiste d’Ukraine, et attisent les conflits entre groupes nationalistes afin d’entretenir une situation conflictuelle qui ne pourrait que déboucher sur un changement de régime voire sur la partition de l’Ukraine. Leurs partisans se déchaînent : pogroms antisémites (dernièrement à la sortie d’une synagogue du quartier de Kiev de Podil), attaques contre les musulmans… Le parti de gauche soutien toutes les initiatives courageuses de nos camarades luttant activement contre les organisations fascistes profitant de la situation pour s’affirmer et perpétrer des actes criminels en toute impunité.

L’ingérence Européenne, en particulier allemande (la CDU, parti d’Angela Merkel, a donné à Vitali Klitchko, l’un des leaders de l’opposition, « la mission de mettre sur pied un parti politique chrétien –conservateur ») est également une réalité. C’est également ce parti dont les USA ne veulent pas dans le prochain gouvernement, d’après la même fuite diplomatique. Et on ne peut que constater le double langage de l’Union Européenne qui appelle à l’arrêt des violences tout en soutenant ouvertement les manifestants. On assiste donc en plus à une guerre d’influence UE-Allemagne/USA mortifère pour le peuple Ukrainien, dont le positionnement géopolitique, de la plus haute importance, doit être décidé souverainement. »

Soutien aux salariés de Parker

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Depuis le 13 février, les salariés du groupe Parker sont en grève pour dénoncer le plan de licenciement annoncé le 25 janvier dernier et qui prévoit le licenciement de 220 salariés dans toute la France, dont 80 a Dijon.
Le groupe PARKER HANNIFIN est un fournisseur industriel dans le domaine des technologies de mouvement. C’est un groupe composé de salaries de qualités, ayant un savoir faire technique très important. La volonté de délocaliser la production en république tchèque est en plus une erreur stratégique pour le groupe qui se privera donc d’un savoir faire important. Un groupe de travail est d’ailleurs allé dans ce sens.
Le parti de gauche soutien cette lutte des salariés de Parker, opposés a un groupe qui ne se contente pas de ses 12 milliards de bénéfices annuels en dollars .

Contre l’intérêt général, le Gouvernement soutient les lobbys financiers du Bâtiment

Le Parti de Gauche condamne sans appel la décision de la ministre du Logement, Cécile Duflot, de s’opposer à la demande des personnes dites handicapées d’obtenir l’abaissement du seuil obligatoire pour l’installation d’un ascenseur à partir du troisième étage au-dessus du rez-de-chaussée, et non plus du quatrième étage au-dessus du rez-de-chaussée comme cela a été décidé il y a plus de 30 ans !

 

Le Parti de Gauche dénonce la logique libérale du Gouvernement qui, au nom d’un improbable Pacte de responsabilité, sacrifie l’intérêt de la population en général et des personnes à mobilité réduite ou en rupture d’autonomie en raison de l’âge en particulier sur l’autel des intérêts financiers des lobbys du Bâtiment.

 

À l’heure où le Gouvernement annonce qu’il entend mettre en oeuvre une politique de soutien à domicile et d’adaptation des logements pour les personnes âgées, la décision de la ministre du Logement de s’opposer à cette demande de bon sens confine à l’irresponsabilité la plus totale.

 

Par ailleurs, le Parti de Gauche dénonce la lâcheté du Gouvernement qui, redoutant un débat au Parlement sur les conséquences d’une politique « d’ajustement normatif » mise en oeuvre pour satisfaire le Medef, fait le choix de procéder par Ordonnances en vue de l’application de ces mesures contraires à l’intérêt général.

Vincent Assante, responsable de la commission handicap du Parti de Gauche

Delphine Beauvois, Secrétaire nationale à l’Egalité

Communiqué commun NPA / Parti de Gauche

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Les délégations du NPA et du Parti de Gauche respectivement menées par Olivier Besancenot d’une part, Jean-Luc Mélenchon et Martine Billard d’autre part se sont rencontrées hier après-midi au siège du PG.

Les deux organisations ont conclu à un large accord. Il porte à la fois sur la nécessité de ne pas laisser la rue à la droite, à l’extrême-droite, aux racistes, antisémites, sexistes et homophobes de tous poils en rassemblant tous ceux qui à gauche refusent la politique du gouvernement. Car « trop c’est trop » ! Il est temps que puisse s’exprimer le ras-le-bol de gauche face à la politique pro Medef d’un gouvernement qui crée les conditions de la montée de la désorientation et de la réaction à qui il donne des gages en reculant !

Le NPA et le PG observent avec satisfaction que des préoccupations similaires surgissent de plusieurs endroits : appel d’Ensemble, l’idée de Pierre Laurent d’une initiative en avril, propositions d’action de l’ensemble du FDG. Concrètement, les deux organisations se rejoignent sur la nécessité d’une marche nationale, à Paris le même jour. Au vu du calendrier électoral et des manifestations déjà prévues dans le calendrier, dont la mobilisation syndicale du 18 mars à laquelle le NPA et le PG appellent, la date du 12 avril semble la meilleure. Les deux partis ont insisté sur le fait que cette date est juste une proposition. Le succès de toute initiative dépendra en effet d’un appel le plus large possible réunissant responsables politiques, associatifs et syndicaux, collectifs de salariés en lutte (entreprises qui licencient ou menacées de fermeture) et équipes militantes… C’est au collectif qui les réunira que reviendra donc la charge de concrétiser cette volonté commune. Les deux organisations ont convenu d’oeuvrer en ce sens.

Déclaration du Front de Gauche de Haute-Garonne (31)

Frontdegauche(1).jpg L’UD GCT31 a convoqué l’ensemble des composantes du mouvement social du département (syndicats, partis, associations) le 27 janvier puis le 6 février dernier. Cette proposition vient après diverses initiatives organisées par les syndicats, souvent CGT, FSU, Solidaires, parfois FO sous forme de grèves et de manifestations. Le Front de gauche a pour sa part organisé plusieurs manifestions nationales, la dernière en date le 1er décembre 2013 pour une révolution fiscale.

Aujourd’hui, à l’appel de la CGT, s’ouvre la possibilité de mobilisations communes. C’est urgent ! Depuis la mise en place du gouvernement Ayrault, le rapport de force n’a cessé de se dégrader. Hollande n’a jamais manqué d’afficher sa fermeté à l’encontre des salariés et des syndicats qui luttent. Il a sacrifié la retraite à 60 ans, à l’encontre de ces promesses de campagne, a refusé l’amnistie des syndicalistes, et ne fait rien alors que se multiplient les plans sociaux et les licenciements dans notre département comme dans tout le pays.

Dans le même temps, le gouvernement recule face à chaque offensive patronale ou réactionnaire. Le MEDEF qui a bien conscience des rapports de force, s’attaque au démantèlement de la sécurité sociale. La droite totalement divisée, se refait une santé sur les renoncements du gouvernement. Ses mobilisations nourrissent les prétentions du MEDEF. Il faut donc réagir. Construisons ensemble un rapport de force pour l’emploi et le pouvoir d’achat, contre les suppressions d’emplois et les licenciements décidés par le grand patronat pour financer leurs actionnaires, contre la politique austéritaire du gouvernement et contre les offensives réactionnaires. Ces deux combats n’en font qu’un.

Lors de nos rencontres, les organisations syndicales ont proposé un calendrier de mobilisation dont la première étape fut le 6 février, journée de grève et de manifestations, qui constitue une première étape encourageante. D’autres initiatives sont d’ores et déjà prévues :
– le 24 février pour une conférence autour du coût et surcoût du capital;
– le 1er mars pour une nouvelle journée de manifestation pour une autre répartition des richesses et contre le coût du capital.

D’autres dates sont en cours de discussion. Ces initiatives sont salutaires. Nous sommes déterminés à nous mobiliser largement pour y contribuer. Nous invitons l’ensemble de la gauche qui ne se retrouve pas dans les choix gouvernementaux à y participer et plus largement tout le monde du travail et de la création pour refuser, en lien avec les entreprises en lutte, les plans de licenciements ou de suppressions d’emplois qui se succèdent dans la département ou nationalement. Nous pensons nécessaire que se multiplie ce type d’initiative. L’heure est grave, et la réalisation d’un front large et unitaire est indispensable pour la construction d’une alternative à gauche.

Front de Gauche 31 – Ensemble, GU, PCF, PCOF, PG.

Un bourdon dans la salade

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« Ma première question serait de savoir si on se tutoie ? » Le mieux, immédiatement, serait qu’on s’oublie. Il faut oublier David Assouline.

La grandeur du débat politique, c’est la volonté d’argumenter, de convaincre, d’opposer des idées et de proposer des solutions, la grandeur du débat politique c’est d’assumer ses choix, de les défendre et d’en démontrer le bien-fondé.

Au lieu de cela, Jean-Luc Mélenchon a dû faire face dimanche soir à un vendeur de salade dopé au brumisateur du media training, sous-chef de rayon à la Samaritaine, qui entraine tout débat dans l’immense néant de la novlangue des marchands, qui fait disparaitre tout raisonnement comme celui qui sniffe un rail de banalité engouffre la poudre !

La médiocrité de ce type ne serait pas grand-chose au fond si elle ne nous questionnait pas sur le traitement si particulier qui nous est réservé dans les media.

Pas un jour dans cette dizaine, où il ne fut pas question du Parti de Gauche dans le presse nationale comme dans la PQR, pas un jour où la presse ne s’interroge pas sur « la déroute », la « déconfiture » « la débandade » le « naufrage » qui serait en cours. A l’origine de ce déferlement une information de la plus haute importance : le Parti de Gauche ne tolère pas que l’on puisse se revendiquer de son nom sans qu’il en ait collectivement décidé. Voilà donc une information de la plus grande importance et d’une grande originalité, notre parti a des règles. Ainsi dans les villes de plus de 20 000 habitants, nous avons convenu que c’était notre Bureau National qui investissait les candidats.

Voilà pourquoi lorsqu’une ou deux listes ne sont pas investies, élections municipales obligent, il y a instantanément une petite trentaine de mécontents…

Avec une info pareille, il n’y a pas de quoi à remplir trois lignes et pourtant, le Monde, l’Express, le Point, le Parisien, Canal +, TF1, les chaines d’info, le Nouvel Obs, y ont tous consacré un, voire plusieurs reportages.

C’est une étrange salade que le plat quotidien de la presse, revenons sur le débat qui oppose Assouline et Jean-Luc Mélenchon. Un seul exemple, celui de la retraite. En livrant le mensonge comme une évidence ; « Nous avons sauvé la retraite à 60 ans », lesalade.jpgs mêmes journalistes qui propagandisent chaque jour les bienfaits de l’allongement de la durée du temps de travail ne relèvent à aucun moment l’hypocrite bobard car le but commun, partagé de tous ceux-là, n’est pas d’organiser un débat argumenté, un débat utile à l’élaboration du jugement que pourrait se faire chaque téléspectateur, le but est d’empêcher Jean-Luc Mélenchon de parler. Cette logique absurde conduit à de grands moments de télévision :

43-2 égalent 41, dit Jean-Luc Mélenchon. Non lui répond l’embrouilleur !

Il faudrait sans doute être mort de rire de voir ainsi le ridicule s’exhiber à une heure de grande écoute, mais en réalité ce bourdon d’Assouline sautillant au milieu de la salade médiatique montre l’ampleur de la difficulté qui est la nôtre.

Lorsqu’ils parlent de sauver la retraite par répartition, ils disent baisse des pensions, lorsqu’ils parlent de pacte de compétitivité, ils disent baisse des salaires, lorsqu’ils disent égalité des droits ils enterrent la PMA, lorsqu’ils parlent rythmes scolaires, ils disent la privatisation du temps scolaire, lorsqu’ils parlent réforme fiscale, ils disent appauvrissement de la puissance publique, lorsqu’ils parlent socialisme ils disent ultra-libéralisme.

Ce que parler veut dire est l’élément essentiel de la reconquête idéologique qui nous occupe. C’est pour cela que tout le plan media-training d’Assouline est basé sur une simple règle. L’empêcher de parler. Empêcher Jean-Luc Mélenchon de parler pour qui ne puisse pas dire que reculer l’âge de la retraite crée du chômage, empêcher Jean-Luc Mélenchon de parler pour qu’il ne puisse pas dire que 30 milliards donnés aux salaires créeraient mécaniquement emplois et recettes fiscales, empêcher Jean-Luc Mélenchon de parler pour qu’il ne puisse pas dire que l’ensemble de nos thèses sont maintenant partagées par toutes les gauches du parti socialiste et que la réalité finit toujours par s’imposer.

5102475535_1ea2279e03.jpgLes techniques sont nombreuses et bien maitrisées par le porte- parole de Solferino, pour abriter une politique de droite derrière les mots de la gauche, pour camoufler la chasse aux étrangers derrière un discours « républicain », pour déguiser une politique de l’offre en une politique au service de tous, pour dissimuler la colère qui envahit le salariat, pour éclipser les besoins réels des populations, masquer les renoncements, planquer les turpitudes, musser les trahisons…

Mais lorsque le bourdon est au milieu de la salade, on ne voit plus que lui ! Et l’envie de renverser la table grandit, jusqu’au moment, pas si lointain, où tout cela explose comme une évidence.

« Ma première question serait de savoir si on se tutoie ? » Le mieux, immédiatement, serait qu’on s’oublie. Il faut oublier David Assouline.La grandeur du débat politique, c’est la volonté d’argumenter, de convaincre, d’opposer des idées et de proposer des solutions, la grandeur du débat politique c’est d’assumer ses choix, de les défendre et d’en démontrer le bien-fondé.

Au lieu de cela, Jean-Luc Mélenchon a dû faire face dimanche soir à un vendeur de salade dopé au brumisateur du media training, sous-chef de rayon à la Samaritaine, qui entraine tout débat dans l’immense néant de la novlangue des marchands, qui fait disparaitre tout raisonnement comme celui qui sniffe un rail de banalité engouffre la poudre !

La médiocrité de ce type ne serait pas grand-chose au fond si elle ne nous questionnait pas sur le traitement si particulier qui nous ait réservé dans les media.

Pas un jour dans cette dizaine, où il ne fut pas question du Parti de Gauche dans le presse nationale comme dans la PQR, pas un jour où la presse ne s’interroge pas sur « la déroute », la « déconfiture » « la débandade » le « naufrage » qui serait en cours. A l’origine de ce déferlement une information de la plus haute importance : le Parti de Gauche ne tolère pas que l’on puisse se revendiquer de son nom sans qu’il en ait collectivement décidé. Voilà donc une information de la plus grande importance et d’une grande originalité, notre parti à des règles. Ainsi dans les villes de plus de 20 000 habitants, nous avons convenu que c’était notre Bureau National qui investissait les candidats.

Voilà pourquoi lorsqu’une ou deux listes ne sont pas investies, élections municipales obligent, il y a instantanément une petite trentaine de mécontents…

Avec une info pareille, il n’y a pas de quoi à remplir trois lignes et pourtant, le Monde, l’Express, le Point, le Parisien, Canal +, TF1, les chaines d’info, le Nouvel Obs, y ont tous consacré un, voire plusieurs reportages.

C’est une étrange salade que le plat quotidien de la presse, revenons sur le débat qui oppose Assouline et Jean-Luc Mélenchon. Un seul exemple, celui de la retraite. En livrant le mensonge comme une évidence ; « Nous avons sauvé la retraite à 60 ans », les mêmes journalistes qui propagandisent chaque jour les bienfaits de l’allongement de la durée du temps de travail ne relèvent à aucun moment l’hypocrite bobard car le but commun, partagé de tous ceux-là, n’est pas d’organiser un débat argumenté, un débat utile à l’élaboration du jugement que pourrait se faire chaque téléspectateur, le but est d’empêcher Jean-Luc Mélenchon de parler. Cette logique absurde conduit à de grands moments de télévision :

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Un cafard dans la salade

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« Ma première question serait de savoir si on se tutoie ? » Le mieux, immédiatement, serait qu’on s’oublie. Il faut oublier David Assouline.La grandeur du débat politique, c’est la volonté d’argumenter, de convaincre, d’opposer des idées et de proposer des solutions, la grandeur du débat politique c’est d’assumer ses choix, de les défendre et d’en démontrer le bien-fondé.

Au lieu de cela, Jean-Luc Mélenchon a dû faire face dimanche soir à un vendeur de salade dopé au brumisateur du media training, sous-chef de rayon à la Samaritaine, qui entraine tout débat dans l’immense néant de la novlangue des marchands, qui fait disparaitre tout raisonnement comme celui qui sniffe un rail de banalité engouffre la poudre !

La médiocrité de ce type ne serait pas grand-chose au fond si elle ne nous questionnait pas sur le traitement si particulier qui nous ait réservé dans les media.

Pas un jour dans cette dizaine, où il ne fut pas question du Parti de Gauche dans le presse nationale comme dans la PQR, pas un jour où la presse ne s’interroge pas sur « la déroute », la « déconfiture » « la débandade » le « naufrage » qui serait en cours. A l’origine de ce déferlement une information de la plus haute importance : le Parti de Gauche ne tolère pas que l’on puisse se revendiquer de son nom sans qu’il en ait collectivement décidé. Voilà donc une information de la plus grande importance et d’une grande originalité, notre parti à des règles. Ainsi dans les villes de plus de 20 000 habitants, nous avons convenu que c’était notre Bureau National qui investissait les candidats.

Voilà pourquoi lorsqu’une ou deux listes ne sont pas investies, élections municipales obligent, il y a instantanément une petite trentaine de mécontents…

Avec une info pareille, il n’y a pas de quoi à remplir trois lignes et pourtant, le Monde, l’Express, le Point, le Parisien, Canal +, TF1, les chaines d’info, le Nouvel Obs, y ont tous consacré un, voire plusieurs reportages.

C’est une étrange salade que le plat quotidien de la presse, revenons sur le débat qui oppose Assouline et Jean-Luc Mélenchon. Un seul exemple, celui de la retraite. En livrant le mensonge comme une évidence ; « Nous avons sauvé la retraite à 60 ans », les mêmes journalistes qui propagandisent chaque jour les bienfaits de l’allongement de la durée du temps de travail ne relèvent à aucun moment l’hypocrite bobard car le but commun, partagé de tous ceux-là, n’est pas d’organiser un débat argumenté, un débat utile à l’élaboration du jugement que pourrait se faire chaque téléspectateur, le but est d’empêcher Jean-Luc Mélenchon de parler. Cette logique absurde conduit à de grands moments de télévision :

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22 février – Manifestation à Notre Dame des Landes

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M. Billard et J-L. Mélenchon se rendront à la manifestation contre l’aéroport le 22 février

Des droits et conditions de travail dignes pour nos gendarmes

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