Pourquoi le social-libéralisme est dans l’impasse
Alors que sa base populaire s’est considérablement affaiblie, le nouveau pouvoir reste prisonnier des dogmes néolibéraux qui le conduisent à pratiquer le grand écart entre ses promesses et ses actes, analyse les sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, auteur de «L’argent sans foi ni loi. Conversation avec Régis Meyran» (Textuel, 2012)
François Hollande n’aurait pu être élu président de la République sans l’apport des voix du Front de gauche, ce qui l’a obligé à des promesses de campagne pour une meilleure répartition des richesses entre le capital et le travail. Mais les promesses, une fois de plus, ne valent que pour ceux qui veulent bien y croire. Après cinq ans d’un «président des riches» qui a comblé les plus fortunés de nombreux cadeaux fiscaux, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault n’a augmenté le taux horaire du Smic, hors inflation, que de 18 centimes d’euros (brut) !
Le mépris pour les millions de Français dont les salaires sont au-dessous du revenu médian, qui s’établit à 1 676 € net par mois, ne va pas les inciter à participer davantage à la vie politique. L’abstention a battu des records pour les élections législatives de juin 2012 : 44,6 % des électeurs inscrits ne sont pas allés voter au second tour. C’est le taux le plus élevé pour des élections législatives depuis 1958, date à laquelle il fut de 25,2 %. De 1958 à 1978, l’abstention a régulièrement reculé. Elle n’atteignait que 15,1 % en 1978. Puis elle a augmenté de 1981 à 2012. Cette concomitance avec les élections de deux présidents socialistes démontre que la duperie de la fausse alternative déroute massivement l’électorat notamment populaire.
Au premier tour de l’élection présidentielle, le candidat François Hollande a recueilli 10 272 705 suffrages, ce qui représente 22,3 % des 46 066 307 inscrits. Le chef de l’Etat était donc minoritaire dans les souhaits des électeurs. Ce que soulignent aujourd’hui les réticences des écologistes, pourtant membres du gouvernement, et le peu d’empressement à le soutenir des élus et militants du Front de gauche. Il y a là une faiblesse de la base sociale susceptible de se mobiliser pour soutenir l’action gouvernementale.
Un soutien aussi faible du peuple français a ses raisons. On peut faire l’hypothèse du souvenir amer laissé par les années mitterrandiennes : ce fut l’époque où la dérégulation du système financier a triomphé, soutenue par un ministre de l’Economie et des Finances, Pierre Bérégovoy, qui a laissé de bons souvenirs dans les beaux quartiers. Le pacte budgétaire et sa «règle d’or», dont la remise en cause et la renégociation avaient été imprudemment mises en avant par le candidat Hollande, sont des signes avant-coureurs des renoncements à venir. Les choix budgétaires de la France sont donc désormais sous le contrôle des experts européens. Le président a, très «normalement», envoyé un message politique clair aux marchés financiers. Le nouveau pouvoir socialiste va bel et bien continuer à appliquer les directives du néolibéralisme et mettre en œuvre une politique d’austérité à perpétuité pour les peuples. Cette reprise à son compte du drapeau de la «compétitivité» va se traduire pour les travailleurs par de nouveaux sacrifices pour les seuls bénéfices du capital et de ses actionnaires.
UN RÉGIME CENSITAIRE
Les manipulations idéologiques et linguistiques ont été reprises par l’Elysée et l’Assemblée nationale, pour continuer à faire croire, dans une inversion totale des valeurs morales et économiques, que le travail coûte trop cher à ces riches et généreux investisseurs qui créent des emplois. Les politiciens du Parti socialiste poursuivent la mise en scène de la défense de l’emploi en France, alors qu’ils savent très bien qu’ils appliquent la politique néolibérale qui a instauré dans les moindres détails du droit français et européen la liberté totale du capital pour délocaliser les emplois ouvriers et de service dans les pays les plus pauvres où la main-d’œuvre est payée au tarif local, celui de la misère.
Comment croire que les socialistes pourraient mener une politique plus douce à l’égard des travailleurs, alors qu’ils sont formés dans les mêmes grandes écoles que les patrons et les politiciens de droite : ENA, Sciences-Po, HEC et, bien entendu, Harvard ? Coupés du peuple avec le cumul des mandats – sur les 297 députés du groupe socialiste de l’Assemblée nationale, on compte 207 cumulards -, les élus socialistes, dans le souci de faire progresser leur carrière en politique, ont rejoint les intérêts de la classe dominante dont ils sont devenus les alliés objectifs. Tous d’accord pour que, au nom de la «démocratie» et des «droits de l’homme», la vie politique française soit gérée dans un régime, en réalité censitaire, où les élites sociales qui composent l’essentiel des chambres vont promulguer les lois les plus favorables à leurs intérêts et à ceux qu’ils représentent. Comment se fait-il que les ouvriers et les employés, qui sont 52 % de la population active, ne soient présents ni à l’Assemblée nationale ni au Sénat, ou si peu ? Cette absence explique le désintérêt pour la politique que traduit le succès remarquable du parti des abstentionnistes.
Dans la phase néolibérale d’un système capitaliste financiarisé, hautement spéculatif à l’échelle du monde, il n’y a pas d’accommodement possible comme ce fut le cas pendant les Trente Glorieuses où la croissance et un Etat-providence fort autorisaient la redistribution. L’avenir de la présence de l’homme sur la Terre est menacé. Seule une opposition claire à cette économie destructrice rendra possible la construction et la mise en œuvre d’une société ou l’humain détrônerait à tout jamais l’argent sans foi ni loi.
Source : Marianne.net – Retrouvez l’original ici
La Françafrique à la mode hollandaise se déploie.
Une fois de plus, les promesses n’engagent que ceux qui y croient, et la méthode Hollande : deux pas en avant, un pas en arrière, se confirme.
Après le discours de Kinshasa sur les droits de l’homme, et la rencontre discrète dans la même journée des despotes congolais et camerounais Denis Sassou Nguesso et Paul Biya, le Président de la république a reçu ce 5 décembre à l’Elysée le dictateur tchadien Idriss Déby.
Idriss Déby est responsable d’une partie des massacres et atrocités commises sous le régime d’Hissène Habré, dont il fut le chef d’État major, avant de le renverser en 1990 avec l’appui de la France. A la tête de l’État, il n’hésita pas à ordonner de nouveaux massacres et des exactions. Ce régime qui a renoncé à investir dans les secteurs sociaux de base et n’hésite pas, comme le dénonce Amnesty International, à recruter des enfants soldats, ne tient qu’avec l’appui concret de l’armée française, sur place dans le pays.
Aujourd’hui, alors que les Tchadiens réclament la démocratie, la fin de la répression contre les opposants, victimes d’arrestations arbitraires, la vérité dans les multiples affaires criminelles impliquant le régime tchadien (dont la disparition de l’opposant Ibni Oumar Mahamet Saleh en février 2008), et surtout des politiques publiques au service des populations, F Hollande en digne héritier de ses prédécesseurs adeptes de la Realpolitik accepte de redonner une caution d’honorabilité à Idriss Déby. Avec pour seul espoir que les soldats tchadiens, supposés spécialistes du Sahel, sinistrement réputés pour leur clanisme, leurs exactions et leurs multiples retournement d’alliances dans les différents conflits internes, ne constituent un soutien utile sur le terrain malien.
La françafrique à la mode hollandaise prend visiblement un nouvel essor !
Puisqu’il s’agit d’avoir l’armée tchadienne pour une intervention au Mali contre l’avis même des maliens !
Sous couvert de continuité de la politique de soutien « pragmatique » au dictateur Déby, il s’agit en fait d’incapacité à définir une ligne de conduite en matière de politique africaine et de s’y tenir, il s’agit tout aussi bien de cynisme vis-à-vis des peuples africains.
Le Parti de Gauche condamne cette dérive guerrière et manipulatrice de F Hollande et de ses mauvais conseillers Fabius et Canfin et réaffirme son soutien aux opposants tchadiens notamment au Député Yorongar.
Florange • une trahison de plus sur le dos des travailleurs !
Crédit photo photosdegauche.fr (stef.burlot) Après la réunion entre les syndicats d’Arcelor Mittal et le premier ministre, le doute n’est plus permis. Le premier ministre s’obstine dans la dénégation des faits en continuant à affirmer haut et fort et contre toute vraisemblance que le compromis passé avec Laksmi Mittal comporte 180 millions d’euros d’investissements.
Sa seule ligne de défense : il n’y aura pas de plan social. Mais les suppressions d’emplois, à terme, vont, elles,se compter par centaines.
L’enjeu du maintien de la sidérurgie, en Lorraine ou ailleurs, n’est visiblement pas le souci de ce gouvernement. Jean-Marc Ayrault a écarté d’un revers de main la possibilité de nationaliser Florange, même de manière temporaire, sous prétexte que cela coûterait trop cher, c’est a dire un milliard d’euros.
Si ce n’est que cela, le Parti de Gauche propose au premier ministre d’abandonner le projet d’EPR de Flamanville dont le coût a encore augmenté de 2 milliards d’euros, ou bien de renoncer aux 20 milliards de cadeaux accordés aux entreprises sans aucune contrepartie. Entre le nucléaire inutile et dangereux ou les cadeaux au patronat et le maintien d’une industrie de l’acier indispensable au pays, le Parti de Gauche n’hésite pas : il fait le choix du refus du démantèlement industriel et social.
Les syndicats devront-ils élever à l’entrée de l’usine de Florange une stèle « Ici reposent les promesses de François Hollande faites le 24 février 2012» comme ils en avaient élevée une aux promesses non tenues de Nicolas Sarkozy à Gandrange ?
Conférence de Jean-Luc Mélenchon en direct de Londres
Ce Jeudi 6 décembre à 19 heures
Conférence de Jean-Luc Mélenchon
« Pour une alternative à l’austérité en Europe »
à l’University College de Londres
Pour l’écouter en direct : reseller.imedialibrary.com
Notre Dame des Landes : le front s’élargit !
Après les fédérations PCF du Morbihan et de Vendée et la section du Sud Finistère, c’est au tour de la fédération du PCF de la Sarthe de rejoindre la lutte contre le projet d’aéroport de Notre Dame des Landes.
Dans un communiqué publié le 3 décembre, nos camarades communistes du Front de Gauche « condamne [nt] les violences et les intimidations répétées à l’encontre des opposants à ce projet » et rappellent que « la mise en œuvre de ce projet d’un nouvel aéroport aboutirait à un gaspillage de fonds publics, à une dégradation irréversible de ressources naturelles et de potentiel agricole aux portes mêmes d’une agglomération d’un million d’habitants. Il est clairement attesté que l’actuel aéroport de Nantes-Bouguenais est à la fois en mesure d’absorber le trafic actuel ou prévisible, et de répondre aux demandes de Airbus Industrie. »
Le Parti de Gauche de la Sarthe tient à saluer fraternellement cette courageuse prise de position et se retrouve pleinement dans les arguments avancés pour une autre politique de transports, le redéveloppement du fret ferroviaire et la critique de cette « logique d’exploitation capitaliste étendue à l’échelle mondiale ». Comme le rappelle la déclaration du PCF de la Sarthe, l’aéroport de Notre Dame des Landes serait : « une plateforme étendue pour le tourisme “low cost”, pour des importations massives de produits à bas coûts depuis les pays du Sud. L’exploitation des populations d’Asie, d’Afrique, les spéculations sur les productions agricoles, les activités touristiques, les mouvements financiers ne peuvent constituer l’avenir économique d’une région, comme d’un pays ! »
Après les prises de position issues des rangs mêmes du Parti Socialiste pour s’opposer au projet inutile, couteux et nuisible de M. Ayrault, aux côtés des militants et élus d’EELV depuis le début de cette lutte, le Parti de Gauche avec ses partenaires du Front de gauche et communistes ayant pris position demande plus que jamais le retrait des forces de l’ordre de la ZAD et l’abandon du projet.
Le front s’élargit, la lutte continue !
Florange : une trahison de plus sur le dos des travailleurs !
Crédit photo Mémoire des luttes
Après la réunion entre les syndicats d’Arcelor Mittal et le premier ministre, le doute n’est plus permis. Le premier ministre s’obstine dans la dénégation des faits en continuant à affirmer haut et fort et contre toute vraisemblance que le compromis passé avec Laksmi Mittal comporte 180 millions d’euros d’investissements.
Sa seule ligne de défense : il n’y aura pas de plan social. Mais les suppressions d’emplois, à terme, vont, elles, se compter par centaines.
L’enjeu du maintien de la sidérurgie, en Lorraine ou ailleurs, n’est visiblement pas le souci de ce gouvernement. Jean-Marc Ayrault a écarté d’un revers de main la possibilité de nationaliser Florange, même de manière temporaire, sous prétexte que cela coûterait trop cher, c’est à dire un milliard d’euros.
Si ce n’est que cela, le Parti de Gauche propose au premier ministre d’abandonner le projet d’EPR de Flamanville dont le coût a encore augmenté de 2 milliards d’euros, ou bien de renoncer aux 20 milliards de cadeaux accordés aux entreprises sans aucune contrepartie. Entre le nucléaire inutile et dangereux ou les cadeaux au patronat et le maintien d’une industrie de l’acier indispensable au pays, le Parti de Gauche n’hésite pas : il fait le choix du refus du démantèlement industriel et social.
Les syndicats devront-ils élever à l’entrée de l’usine de Florange une stèle « Ici reposent les promesses de François Hollande faites le 24 février 2012 » comme ils en avaient élevé une aux promesses non tenues de Nicolas Sarkozy à Gandrange ?
Martine Billard Coprésidente du Parti de Gauche.
Laurence Parisot conseillère spéciale du gouvernement ?
Parisot Premier Ministre ? par lepartidegauche
Avec le gouvernement Ayrault, c’est Noël avant l’heure pour les patrons !
Le Parti de Gauche dénonce le véritable hold-up du MEDEF sur la politique économique du pays. La nuit dernière, la majorité a voté un chèque en blanc de 20 Mds d’euros en crédit d’impôt (CICE) accordé aux entreprises, sans aucune contrepartie pour l’emploi ou la lutte contre la précarité. Le Parti de Gauche dénonce ce nouveau dispositif qui favorisera les grands groupes, qui créera des effets d’aubaine immenses, et qui constituera une barrière à la hausse des salaires car il cesse de s’appliquer au-delà de 2,5 Smic.
Dans la continuité d’une logique de la politique de l’offre et l’absurde recherche de « compétitivité », la majorité vient de voter aujourd’hui une hausse de la TVA de plus de 7Mds d’euros. Ce sera une baisse directe et immédiate du pouvoir d’achat des classes moyennes et populaires.
Le premier ministre et le gouvernement peuvent remercier le vaudeville de l’UMP pour passer les fourberies du rapport Gallois en toute discrétion. En totale contradiction avec l’ensemble des promesses de campagne, le trio Hollande – Ayrault – Moscovici reprend la lignée des politiques sarkozystes. Les parlementaires du centre et de la droite ne s’y trompent pas en ne critiquant ce cadeau au MEDEF que sur la forme et la méthode.
Après l’accord au rabais et sans garantie de Mittal, le MEDEF continue à dicter la politique de la France et à imposer ses conditions à Jean-Marc Ayrault, qui semble avoir laissé son poste de premier ministre à Laurence Parisot. Le Parti de Gauche exige la suppression de ces dispositifs absurdes et réclament les investissements publics nécessaires pour sortir la France de la spirale de l’austérité et la récession.
Guillaume Etievant est président de la Commission économie du Parti de gauche
Parti de Gauche de l’ Hérault (34) • Comité citoyen de défense de l’emploi dans la santé-recherche
Appel du « Comité d’action citoyen du montpelliérain pour la défense de l’emploi dans la recherche-santé (Sanofi et recherche publique) »
Le 13 Novembre 2012 s’est constitué à Montpellier un « Comité d’action citoyen pour la défense de l’emploi dans la recherche-santé (Sanofi et recherche publique) ».
Il est actuellement composé de salariés de Sanofi et de la recherche publique, employés, techniciens, chercheurs, de militants syndicaux de diverses sensibilités, de la recherche-santé ou extérieurs, de militants politiques du Front de gauche.
La création de ce Comité été motivée :
1) Par l’indignation provoquée par la politique d’un groupe comme Sanofi qui réalise d’énormes profits financiers (près de 9 milliards d’€ – largement aux dépens, dans notre pays, de la Sécurité sociale et du monde du travail, invité, lui, à combler le « trou de la sécu ») tout en supprimant depuis plusieurs années des milliers d’emplois. Notre indignation est montée d’un cran avec les nouvelles suppressions d’emplois dans la recherche, notamment à Montpellier, tandis qu’était annoncée une nouvelle augmentation des dividendes.
2) Par le souhait que dans la recherche publique s’opère, sans attendre, une rupture (effort budgétaire national accru, revalorisation des salaires), qui mette enfin celle-ci au cœur du développement de l’emploi industriel dans notre pays, et en particulier dans notre département, permettant :
· Que les chercheurs se consacrent exclusivement à leur travail, avec les moyens nécessaires ;
· La fin de la précarité (aggravée par le gouvernement précédent), avec un statut pérenne pour tous les chercheurs en activité ; ainsi que le développement de la recherche fondamentale.
· La restauration d’une indépendance mise au service de la collectivité nationale
C’est pourquoi le Comité d’action se propose, dans un premier temps :
A) De contribuer à toutes actions de sensibilisation de la population car ces enjeux la concernent directement (sécurité sociale, emploi local, création possible d’emplois industriels, etc.) :
– Tracts, aide à faire signer la pétition de masse de l’intersyndicale (sanofi.change.org, ou facebook Lessanofi),
– Débats à l’échelle de la ville ou des quartiers.
Pour être édifiés sur le pillage lié aux médicaments, visionnez sur « Youtube », «Les médicamenteurs»
(http://www.youtube.com/watch?v=AyvdkajbNs)
B) D’agir pour le retrait du plan de suppressions d’emploi de Sanofi, par toutes interventions auprès d’élus locaux ou nationaux, auprès du gouvernement, pour faire voter la proposition de loi sur l’interdiction des « licenciements boursiers », pour l’amender, si nécessaire, afin qu’elle couvre les « suppressions d’emplois boursières » de Sanofi.
C) D’engager un débat citoyen pour que la recherche et la production pharmaceutique de Sanofi repasse sous contrôle conjoint de ses salariés et de la collectivité nationale (création d’un pôle public du médicament, droits importants des salariés et usagers dans les organes de décision de ce groupe, etc.) : Qui doit décider quels médicaments sont prioritaires, la finance ou la collectivité nationale ?
Vous partagez notre indignation ?
Le Comité d’action citoyen vous propose, sans interférer dans l’activité des organisations syndicales (et réciproquement), mais à leurs côtés, de faire de la politique d’une autre manière, citoyenne. Quelle que soit votre sensibilité syndicale ou politique, venez débattre au Comité de ce que vous voulez pour Sanofi, pour la recherche publique, des transformations sociales que vous jugez nécessaires à ce propos, en exigeant de vos représentants politiques, élus ou dirigeants, que cette volonté citoyenne se concrétise à l’échelle locale et nationale, dans les pratiques et dans les lois.
Lire l’article sur le site du Parti de Gauche 34
Parisot 1er Ministre ?
Parisot Premier Ministre ? par lepartidegauche