Les caresses de Barroso et la claque du peuple
Dans les pas de Nicolas Sarkozy, François Hollande avait lâchement abandonné la souveraineté budgétaire de notre pays à la Commission européenne. Il vient en guise de remerciements de recevoir le baiser qui tue de la part de Barroso.
Avant même que les députés et sénateurs français aient pu délibérer sur le budget, les chiens de garde bruxellois de la finance jamais rassasiés viennent de leur enjoindre de poursuivre et accélérer la saignée tant sur retraites que pour » réduire le coût de la main d’oeuvre”.
Voilà ce qu’il advient quand les capitaines de pédalo en baissant le pavillon jettent à l’eau le drapeau !
Le 1er décembre, face au peuple, Barroso devra rengorger ses avis et recommandations. C’est pour une Révolution fiscale et contre l’augmentation de la TVA que le peuple marchera sur le portique du Medef installé à Bercy et dont Hollande a donné la concession à Barroso.