Le PG dénonce les tentatives de déstabilisation du gouvernement démocratique du Venezuela

La droite vénézuélienne, incapable de convaincre par la voie démocratique comme l’ont encore montré les dernières élections présidentielles et municipales, ne reculera devant rien, une fois de plus, pour tenter de créer les conditions propices a déstabiliser le gouvernement.

Les forces de déstabilisation optent tantôt pour la pression économique (spéculation contre la monnaie nationale, organisation de la pénurie, augmentation artificielle des prix…), tantôt pour la violence de rue dans des opérations conduites par des groupuscules armés et ultra-violents, aux méthodes paramilitaires. Lors d’une manifestation le 12 février, trois personnes ont ainsi été tuées par balle dans les rues de Caracas et de très nombreuses autres ont été gravement blessées, dont vingt policiers et des employés du métro de Caracas, attaqués par l´opposition. Contrairement a ce que se sont empressés de reprendre en chœur les médias, le militant chaviste et celui de l´opposition assassinés l´ont été par la même arme à feu, comme l´a révélé par la suite le ministre de l´intérieur, Miguel Rodríguez Torres, en insistant sur la présence de mercenaires chargés de semer le chaos dans le pays.

Le Parti de Gauche condamne fermement les exactions et la violence meurtrière de certains secteurs de l´opposition. Il rejette le comportement des grandes entreprises mondiales de communication, qui, violant une nouvelle fois le droits des citoyens a être informés, déforment la réalité politique vénézuélienne et contribue ainsi à la tentative de déstabilisation internationale du gouvernement démocratique du Venezuela.

Le PG réaffirme son soutien à la révolution bolivarienne dans sa volonté de pacifier le pays, de lutter contre ces violences et de déjouer cette stratégie anti-démocratique de la peur mise en oeuvre par l’extrême droite vénézuélienne.

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