Conférence sur le revenu d’existence
Titre: Conférence sur le revenu d’existence
Lieu: Montauban
Description: Mesure révolutionnaire, le revenu d’existence serait attribué du premier cri au dernier souffle.
Date: 2012-09-21
TSCG – Pourquoi refuser le nouveau pacte budgétaire européen
Des militant-e-s expliquent pourquoi ils refusent ce nouveau traité.
220 ans de la République – Discours de J.L. Mélenchon au Panthéon le 21 septembre 2012
L’agit’prop et l’éduc pop au rendez-vous ! – Pour réussir la manifestation du 30 septembre contre le traité
Dans le cadre de la mobilisation pour la manifestation unitaire du 30 septembre contre le traité austéritaire, le Parti de Gauche contribue à la mobilisation en mettant ses outils d’agit prop’ et d’éducation populaire au service de toutes et tous ! http://www.placeaupeuple2012.fr/mobilisons-nous-contre-le-traite-austeritaire/
– Atelier de lecture sur le TSCG : lisez, vous vous mobiliserez !
Créés pendant la campagne pour le NON au TCE en 2005, les ateliers de lecture sont des réunions publiques animées dans des cafés ou des réunions d’appartement. Pas d’experts pour démonter le texte des experts. Les citoyens eux-mêmes se prennent en main. Des extraits du texte du traité sont lus et décryptés par les participants.
– « Criées contre le traité » dans le métro, les TER, Tramways et place des marchés
Initiés dès la campagne des européennes de 2009, les « criées » du Front de Gauche permettent, à l’intérieur des rames d’un métro ou d’un TER ou sur une place de marché, d’interpeller avec humour décalé les citoyen-ne-s le temps d’une ou de station… 2 minutes pour convaincre ou au moins susciter l’envie d’aller plus loin !
– La scénette de rue contre le traité des commandos culturels
S’inspirant directement de la culture du théâtre populaire de rue, des militant-e-s jouent une scénette d’un quart d’heure sur une place de marché ou à la sortie d’une gare pour éveiller les consciences, toujours avec humour !
– « Les mélanchanteurs »
Lancées pendant l’élection présidentielle, les joyeuses troupes de musicien-ne-s et chanteur-euse-s amateurs détournent des petits airs populaires et vocalisent des tracts en chansons lors de ballades militantes sur le thème du traité et de l’exigence d’un référendum.
– Les « topo-citoyens » contre le traité austéritaire
Un paperboard, une dizaine de feuille avec des petits dessins, pour une explication en pleine rue du contenu du traité et de ses effets. L’austérité à vie, la précarité généralisée, la récession programmée et la souveraineté populaire bafouée, vous en voulez vraiment ?
– L’atelier affiches, banderoles pancarte en plein air
Contestons le traité en couleur, en dessin, en slogan, affichons la contestation à l’Europe austéritaire ! Ces rendez-vous permettent aux artistes plasticiens amateurs ou professionnels de libérer leurs talents créatifs en plein air pour préparer en visuels la manifestation du 30 septembre.
Pour découvrir ces actions militantes, n’hésitez pas à contacter :
– Danielle Simonnet, Conseillère de Paris, Secrétaire nationale du PG à l’Agit’prop’ danielle.simonnet@lepartidegauche.fr
– Manuel Bompard, Secrétaire national du PG à l’Ile-de-France – manuel.bompard@lepartidegauche.fr
Le rendement pour les uns ou la santé pour tous ?
Le Parti de gauche Tarn-et-Garonne souhaitait réagir suite à la manifestation de jeunes agriculteurs, le 13 septembre 2012 devant la préfecture du département, contre le programme d’actions de la lutte contre les nitrates et la réglementation des Cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan).
Pourtant les études scientifiques prouvant le lien étroit entre l’usage d’intrants chimiques et les pathologies graves se multiplient ; le 7 mai est d’ailleurs paru un décret gouvernemental reconnaissant la maladie de Parkinson comme maladie professionnelle et établit explicitement un lien de causalité entre cette pathologie et l’usage des pesticides. La réglementation Cipan vise à protéger la santé des agriculteurs et aussi de la population. Une autre partie du monde agricole est bien consciente de la nécessaire préservation de notre écosystème et pratique une agriculture vivrière, paysanne et biologique.
En totale impunité, une fois encore, le syndicat agricole majoritaire et les Jeunes agriculteurs (JA) peuvent déverser des détritus devant la préfecture du Tarn-et-Garonne au nom d’un obscurantisme dangereux. Dans le même temps, des syndicalistes ouvriers ou militants écologistes sont eux sanctionnés par la justice. Cherchez l’erreur.
Le PG82 demande au Préfet de faire preuve de fermeté. Après l’autorisation préfectorale, concédé cet été aux agriculteurs productivistes, de l’épandage aérien, plus aucune dérogation ne doit être accordée. Il en va de la santé de tous et donc de l’intérêt général.
Le Parti de gauche estime qu’il est temps de mener une agriculture saine, respectueuse de l’environnement et des écosystèmes. C’est le devoir des autorités de l’état d’appliquer les réglementations en vigueur et de mettre en pratique la reconversion vers une société écologique.
L’Humanité – Le service informatique de la SNCF délocalisé en Europe de l’Est
C’est le cercle vicieux de la rentabilité à tout prix. La SNCF a d’abord externalisé son service informatique, sous-traité à IBM, qui aujourd’hui délocalise. 500 emplois sont menacés d’ici 2013.
Le groupe américain IBM, qui vient de remporter le contrat de surveillance du fonctionnement des logiciels de la SNCF, a entrepris de délocaliser vers l’Europe de l’Est cette activité jusqu’ici réalisée en France, selon une information du quotidien Le Parisien.
Une tâche déjà sous-traitée, jusqu’à présent à la société française de services informatiques Steria, dont les salariés étaient détachés dans les locaux de la SNCF et travaillaient aux côtés des cheminots informaticiens. IBM proposait moins cher, et délocalise les emplois. Le pilotage de l’informatique du service des ressources humaines sera pour sa part transféré à une filiale espagnole du groupe français Sopra.
« La SNCF passe un contrat avec IBM pour délocaliser »
« 260 emplois de sous-traitants vont être supprimés et 45 postes de cheminots non remplacés. D’ici à 2013, ce sont 500 emplois en tout qui vont disparaître », déplore Hervé Giudici, secrétaire général de l’Union fédérale des cadres et agents de maîtrise de la CGT Cheminots, cité dans le journal de jeudi. Dans un communiqué, la SNCF indique que, outre 90 emplois au Maroc dans l’informatique du fret, « l’équivalent de 150 emplois sont localisés dans l’Union européenne (dont un tiers depuis plusieurs années). Pour ces emplois, SNCF a engagé des discussions avec ses fournisseurs, dans le cadre de sa gestion contractuelle, sur les conditions de leur localisation ».
« De manière assumée et délibérée, la SNCF passe un contrat avec IBM pour délocaliser », dénonce Sébastien Gillet, représentant Sud. « Faire piloter des installations qui se trouvent physiquement en France par des Polonais et des Tchèques, avec tous les problèmes de communication que cela induit, est une aberration », selon lui.
L’Unsa, qui milite pour « une SNCF intégrée », dénonce « ce dumping social » et la filialisation des services. « Plus on filialise, moins on a la main sur les choses », déplore Roger Dillenseger, secrétaire général adjoint de l’Unsa cheminots.
Le blog de Leila CHAIBI – J’emmerde les intégristes, et j’emmerde Charlie Hebdo

C’est du grand n’importe quoi ce qui se passe en ce moment. D’un côté, on a ceux qui voudraient interdire la critique de l’intégrisme sous prétexte que ça stigmatiserait les croyants et qui du coup font eux même l’amalgame entre intégristes et croyants. A ceux qui font leurs vierges effarouchées dès qu’une voix s’élève contre les barbus, je signale qu’en ce moment, des milliers de gens, musulmans en l’occurence, se battent en Tunisie contre les salafistes qui voudraient confisquer la révolution. A ceux-là, je dédicace cet extrait de la super chronique de Sophia Aram du 18/09/2012 sur France Inter, au sujet des manifestations qui ont suivi la diffusion de la vidéo-navet « Innoncence of Muslim » sur Internet : « Dieu, si tu m’écoutes, est-ce que tu ne pourrais pas au moins faire en sorte de calmer ton fan club à barbe ? Et pendant qu’on y est, puisqu’ils passent leur temps à prier, est-ce que tu pourrais pas leur demander de prier aussi pour devenir un peu moins con ? »
Et d’un autre côté, on a Charlie Hebdo aka France Dimanche, qui n’a rien trouvé de plus intelligent pour relancer ses ventes de papiers que de publier des dessins même pas drôles, juste méchants, qui injurient non pas les intégristes, mais les musulmans (je parle des dessins figurant en pages intérieures plus que de la Une), et du coup encouragent ceux qui en ce moment rêvent d’une guerre de religion. Merci Charlie Hebdo grâce à toi ces connards d’intégristes doivent sauter de joie, ils ont cette fois un bon prétexte pour mettre le bordel en se faisant passer pour des défenseurs des musulmans.
La liberté d’expression, et pour rien au monde je ne voudrais remettre en question ce principe, donne le droit à Charlie Hebdo de publier ce qu’il veut, et même les plus grosses conneries. Mais la liberté d’expression nous autorise aussi à dire que Charlie Hebdo fait de la merde. Le problème n’est pas la liberté d’expression, le problème c’est d’inciter à la haine religieuse dans un contexte explosif. La liberté d’expression n’interdit pas d’être intelligent, d’avoir un brin de sens des responsabilités, et de mesurer la conséquence de ses actes. Grâce à Charlie Hebdo des écoles françaises sont fermées aujourd’hui partout dans le monde. Les intégristes que Charlie Hebdo prétend combattre doivent se frotter les mains.
Franchement attiser la haine religieuse c’est la priorité en ce moment ? On a pas des problèmes d’emplois, d’éducation, de santé à s’occuper ? Il y a pas, par exemple, un Traité budgétaire européen qui va nous tomber sur la tronche bientôt ?
Lire l’article sur le blog de Leila CHAIBI
Émancipation Urbaine – La Révolution citoyenne en réponse au mépris du peuple
Elections après élections, nombreux sont les médias et acteurs de la vie politique à regretter les taux d’abstentions toujours plus élevés, ceux-ci étant le miroir du désintéressement politique des citoyens. Les raisons de ce désintéressement sont souvent liées au sentiment d’impuissance (conforté par les défenseurs de l’idéologie dominante) face aux politiques libérales contre lequel on ne « pourrait rien », ainsi qu’il est souvent difficile de s’impliquer politiquement lorsque le quotidien devient une lutte au jour le jour pour la survie, lot malheureux de plus en plus de nos concitoyens. Face à cette criante précarité les questions politiques, et notamment dans la manière dont elles sont traitées, semblent de plus en plus éloignées du vécu direct du peuple.
Le TSCG (Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance), nouveau traité européen, aussi appelé Pacte budgétaire, est l’archétype de cette situation. Ce texte juridique « imbuvable » pour les non initiés au langage technocratique, semble complètement abstrait pour de nombreux citoyens qui n’arrivent pas à en mesurer la portée directe. Il faut dire que ni les « journalistes », ne faisant aucun travail réel de lecture et d’explication, ni le gouvernement social-libéral, cherchant chaque jour à en minimiser les conséquences (par exemple Cécile Duflot sur France Inter le 18 septembre 2012), n’ « aide » le peuple à s’y retrouver et à agir en pleine conscience. Pire, certain(e)s mentent effrontément en nous faisant croire qu’il est une condition à la survie de l’Europe ou de la monnaie unique.
Or s’il peut paraître éloignée des préoccupations quotidiennes des populations toujours plus touchées par la précarité, le chômage et la pauvreté, il est à l’inverse à la fois la clé de voute et le symbole d’un système économique qui ne fonctionne pas et, pire, qui entraine l’Europe dans une crise écologique et sociale sans fin. En imposant une « règle d’or » via l’obligation pour les états membres de limiter les déficits publics à 0,5% du PIB (alors qu’aucun état de l’Union Européenne, y compris l’Allemagne, n’arrive aujourd’hui à respecter la limite de 3% fixée par le traité de Maastricht), on empêche toute politique de relance de l’économie en la contractant, et on bloque finalement les investissements futurs. Comment répondre aux enjeux écologiques demandant une réorientation de l’économie vers une production soutenable, une politique efficace de recherche en matière d’énergie renouvelable et d’économie d’énergie … et aux enjeux sociaux tels que la lutte contre le chômage, la relocalisation de l’activité et la ré-industrialisation de l’économie, si les moyens financiers ne sont pas disponibles pour le faire. La règle d’or a donc des conséquences directes sur les conditions de vie actuelles et futures. Les déficits publics ne sont qu’un outil économique au service des humains et non pas un problème en soi. En revanche les taux d’intérêts toujours plus faramineux demandés par les banques aux états le sont !
Mais en plus d’être absurde économiquement, le TSCG est parfaitement anti-démocratique. Dans le but de « rassurer » les marchés financiers, le pacte budgétaire impose un contrôle de la part d’une « institution indépendante » non élue, et par la Commission européenne de tous les budgets nationaux avant même le vote par leurs parlements respectifs. Or les commissaires européens, tous laudateurs de l’idéologie libérale, ne sont pas élus mais désignés par chaque état membre tandis que le Parlement européen, dont la représentation est issue du suffrage universel, n’a qu’un rôle d’observateur. Les avis des personnes désignées directement par le peuple ne compte pas, les citoyens perdent leur souveraineté politique. De plus, la manière dont le gouvernement français dit « socialiste » souhaite le faire appliquer dans le droit français témoigne d’un profond mépris pour le peuple, celui-là même qui a porté François Hollande et sa majorité au pouvoir. Alors que le candidat devenu Président promettait de le renégocier, c’est le traité Merkel-Sarkozy (deux noms qui resteront assurément dans l’histoire de l’Europe pour avoir fait triompher l’idéologie réactionnaire antisociale) qui est prévu d’être appliqué, au mot près, par les parlementaires dit « socialistes ». Or François Hollande a été élu en promettant de renégocier le trait. Ne l’ayant pas fait, il n’a aucune légitimité populaire pour l’appliquer.
Comment les socio-libéraux peuvent ils encore se lamenter de la faible participation aux élections quand ce sont les premiers à mépriser les citoyens ? A l’inverse, le camp progressiste, dont le Front de Gauche a toute sa place, n’a pas peur du suffrage populaire. C’est pour cette raison que nous appelons l’ensemble des citoyens à se mobiliser en faveur d’un référendum à ce sujet. Nous ne considérons pas les citoyens comme de simples électeurs, comme des consommateurs de produits électoraux que l’on tenterait de séduire à chaque élection, à coup de phrases chocs et de slogans, mais avons comme but premier la participation de toutes et tous à la vie de la cité. Il ne s’agit pas uniquement d’exprimer un désaccord avec une politique libérale qui ruine l’Europe, détruit la planète et exacerbe les tensions nationalistes, mais de redonner une substance à la démocratie et aux valeurs de la République. « Prenez le pouvoir » n’était pas seulement un slogan de campagne, mais demeure une orientation politique : celle de la Révolution citoyenne et de la 6ème République, écologique et sociale, qu’elle doit faire naitre. La grande manifestation du 30 septembre 2012 se doit d’être une réussite car, mettant de coté nos différences, nous devons montrer l’unité du peuple de gauche en faveur du respect de la souveraineté populaire.
Lire l’article sur le blog Emancipation Urbaine
Refusons la hausse des frais d’inscription dans l’enseignement supérieur

Après la rentrée des lycéens, voilà celle des étudiants et avec elle son cortège d’annonce de la part de la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Geneviève Fiorasso.
Et elle a fort à faire, plus de 20 Universités sont en déficit. 3 d’entre elles, le sont pour la deuxième année consécutive. Aux yeux de la loi, elles pourraient être mise sous tutelle du Recteur, donc de l’Etat. Loin de se saisir de cette opportunité d’en finir avec l’autonomie, la ministre affirme : « La tutelle rectorale aveugle n’a pas de sens. Elle ne favorise pas l’autonomie. » Le Monde, 18/09/2012. Aucune remise en cause de l’autonomie, donc.
Et pourtant, cette situation est la conséquence directe de la loi LRU d’autonomie des Universités. Comme le Parti de gauche le démontre ici (lien vers http://www.jean-luc-melenchon.fr/arguments/universites-lautonomie-contre-le-service-public/), cette loi a été conçu pour organiser l’appauvrissement des universités.
Deux solutions leur restaient pour assurer l’équilibre des comptes. La première, faire appel à des fondations privées, n’a pas connu le succès escompté. La seconde, faire payer les étudiants est expérimentée pour les diplômes d’Université et par quelques Universités qui enfreignent la loi et recourent à des frais d’inscription illégaux. Mais la loi actuelle sur les frais d’inscription rend marginal ce curseur … pour l’instant.
En effet, le quotidien Le Monde révèle une piste que le gouvernement tenterait de débroussailler. En finir avec la gratuité des classes préparatoires. Voilà encore des privilégiés qu’il faudrait mettre au pas. En effet, un élève dans ces filières revient plus cher à la collectivité qu’un étudiant à l’Université. Bien sûr, les catégories sociales supérieures y sont largement surreprésentées au détriment des enfants d’ouvriers et d’employés. Comment, dès lors, ne pas admettre qu’au nom de l’équité, il faudrait rendre payante ces formations ?
Tout simplement, car une nouvelle fois, il ne s’agit que de l’arbre qui cache la forêt !
Car, ce que révèle le quotidien, sans s’en émouvoir, c’est qu’une telle mesure concernerait également les élèves de BTS. Beaucoup plus nombreux que les élèves de classes prépa. Mais bien sûr, l’idée d’une pseudo équité n’est plus opérante. En effet, les BTS reçoivent beaucoup plus d’enfants des milieux populaires et d’élèves boursiers que les classes prépa.
Sous couvert d’équité et de faire payer les riches, se sera une nouvelle fois les plus démunis qui seront frappés par une telle mesure.
Plus encore, cette « fuite » est un ballon d’essai. Si la résistance n’est pas totale, c’est tous les étudiants qui à terme seront frappés par une hausse des frais d’inscription. Pourquoi la France qui applique sagement la doxa libérale, ne s’inspirerait pas des pratiques anglaises ou québécoise en la matière ?
Comme le porte le Parti de Gauche et le Front de Gauche, seule l’abrogation de la LRU et l’abandon de l’autonomie des Universités permettra d’en finir avec ces menaces sur l’accès de tous au savoir et à la formation et garantira un enseignement supérieur de qualité.
Jean-Luc Mélenchon – Charlie Hebdo, traité européen
Jean-Luc Mélenchon s’exprime sur Europe 1 à propos de Charlie Hebdo et du Traité européen de stabilité.