Laurence Parisot conseillère spéciale du gouvernement ?
Parisot Premier Ministre ? par lepartidegauche
Avec le gouvernement Ayrault, c’est Noël avant l’heure pour les patrons !
Le Parti de Gauche dénonce le véritable hold-up du MEDEF sur la politique économique du pays. La nuit dernière, la majorité a voté un chèque en blanc de 20 Mds d’euros en crédit d’impôt (CICE) accordé aux entreprises, sans aucune contrepartie pour l’emploi ou la lutte contre la précarité. Le Parti de Gauche dénonce ce nouveau dispositif qui favorisera les grands groupes, qui créera des effets d’aubaine immenses, et qui constituera une barrière à la hausse des salaires car il cesse de s’appliquer au-delà de 2,5 Smic.
Dans la continuité d’une logique de la politique de l’offre et l’absurde recherche de « compétitivité », la majorité vient de voter aujourd’hui une hausse de la TVA de plus de 7Mds d’euros. Ce sera une baisse directe et immédiate du pouvoir d’achat des classes moyennes et populaires.
Le premier ministre et le gouvernement peuvent remercier le vaudeville de l’UMP pour passer les fourberies du rapport Gallois en toute discrétion. En totale contradiction avec l’ensemble des promesses de campagne, le trio Hollande – Ayrault – Moscovici reprend la lignée des politiques sarkozystes. Les parlementaires du centre et de la droite ne s’y trompent pas en ne critiquant ce cadeau au MEDEF que sur la forme et la méthode.
Après l’accord au rabais et sans garantie de Mittal, le MEDEF continue à dicter la politique de la France et à imposer ses conditions à Jean-Marc Ayrault, qui semble avoir laissé son poste de premier ministre à Laurence Parisot. Le Parti de Gauche exige la suppression de ces dispositifs absurdes et réclament les investissements publics nécessaires pour sortir la France de la spirale de l’austérité et la récession.
Guillaume Etievant est président de la Commission économie du Parti de gauche
Parti de Gauche de l’ Hérault (34) • Comité citoyen de défense de l’emploi dans la santé-recherche
Appel du « Comité d’action citoyen du montpelliérain pour la défense de l’emploi dans la recherche-santé (Sanofi et recherche publique) »
Le 13 Novembre 2012 s’est constitué à Montpellier un « Comité d’action citoyen pour la défense de l’emploi dans la recherche-santé (Sanofi et recherche publique) ».
Il est actuellement composé de salariés de Sanofi et de la recherche publique, employés, techniciens, chercheurs, de militants syndicaux de diverses sensibilités, de la recherche-santé ou extérieurs, de militants politiques du Front de gauche.
La création de ce Comité été motivée :
1) Par l’indignation provoquée par la politique d’un groupe comme Sanofi qui réalise d’énormes profits financiers (près de 9 milliards d’€ – largement aux dépens, dans notre pays, de la Sécurité sociale et du monde du travail, invité, lui, à combler le « trou de la sécu ») tout en supprimant depuis plusieurs années des milliers d’emplois. Notre indignation est montée d’un cran avec les nouvelles suppressions d’emplois dans la recherche, notamment à Montpellier, tandis qu’était annoncée une nouvelle augmentation des dividendes.
2) Par le souhait que dans la recherche publique s’opère, sans attendre, une rupture (effort budgétaire national accru, revalorisation des salaires), qui mette enfin celle-ci au cœur du développement de l’emploi industriel dans notre pays, et en particulier dans notre département, permettant :
· Que les chercheurs se consacrent exclusivement à leur travail, avec les moyens nécessaires ;
· La fin de la précarité (aggravée par le gouvernement précédent), avec un statut pérenne pour tous les chercheurs en activité ; ainsi que le développement de la recherche fondamentale.
· La restauration d’une indépendance mise au service de la collectivité nationale
C’est pourquoi le Comité d’action se propose, dans un premier temps :
A) De contribuer à toutes actions de sensibilisation de la population car ces enjeux la concernent directement (sécurité sociale, emploi local, création possible d’emplois industriels, etc.) :
– Tracts, aide à faire signer la pétition de masse de l’intersyndicale (sanofi.change.org, ou facebook Lessanofi),
– Débats à l’échelle de la ville ou des quartiers.
Pour être édifiés sur le pillage lié aux médicaments, visionnez sur « Youtube », «Les médicamenteurs»
(http://www.youtube.com/watch?v=AyvdkajbNs)
B) D’agir pour le retrait du plan de suppressions d’emploi de Sanofi, par toutes interventions auprès d’élus locaux ou nationaux, auprès du gouvernement, pour faire voter la proposition de loi sur l’interdiction des « licenciements boursiers », pour l’amender, si nécessaire, afin qu’elle couvre les « suppressions d’emplois boursières » de Sanofi.
C) D’engager un débat citoyen pour que la recherche et la production pharmaceutique de Sanofi repasse sous contrôle conjoint de ses salariés et de la collectivité nationale (création d’un pôle public du médicament, droits importants des salariés et usagers dans les organes de décision de ce groupe, etc.) : Qui doit décider quels médicaments sont prioritaires, la finance ou la collectivité nationale ?
Vous partagez notre indignation ?
Le Comité d’action citoyen vous propose, sans interférer dans l’activité des organisations syndicales (et réciproquement), mais à leurs côtés, de faire de la politique d’une autre manière, citoyenne. Quelle que soit votre sensibilité syndicale ou politique, venez débattre au Comité de ce que vous voulez pour Sanofi, pour la recherche publique, des transformations sociales que vous jugez nécessaires à ce propos, en exigeant de vos représentants politiques, élus ou dirigeants, que cette volonté citoyenne se concrétise à l’échelle locale et nationale, dans les pratiques et dans les lois.
Lire l’article sur le site du Parti de Gauche 34
Parisot 1er Ministre ?
Parisot Premier Ministre ? par lepartidegauche
Scops • La justice approuve la reprise de SET en Scop par ses salariés
C’est une belle victoire pour les salariés l’entreprise de composants électroniques SET, qui se battent depuis plusieurs mois pour la sauver. La cour d’appel de Chambéry a accepté ce mardi la reprise de l’entreprise sous la forme d’une coopérative au détriment de l’offre du groupe américano-singapourien Kolicke & Soffa (K&S).
« On est très contents. C’était un long parcours avec de multiples rebondissements et beaucoup d’énergie. Et finalement, nous avons réussi à convaincre le tribunal », s’est félicité Pascal Metzger, salarié de l’entreprise SET (Smart Equipment Technology), basée à Saint-Jeoire-en-Faucigny (Haute-Savoie). Dans son arrêt rendu mardi, la cour estime que « le projet de reprise par la Scop est soutenu par la majorité des salariés de l’entreprise, ce qui est un gage de succès s’agissant d’une activité de très haute technologie reposant sur les connaissances, le savoir-faire et l’expérience desdits salariés ». Elle souligne aussi que ce projet « a le mérite de maintenir une technologie de pointe sur des marchés sensibles (…) entre les mains, non seulement d’une société française, mais, bien plus, de ceux qui en sont les inventeurs et développeurs à savoir les salariés de la société SET ».
Créée en 1975, SET, entreprise spécialisée dans la fabrication de machines d’assemblage de composants électroniques de très haute précision, un marché de niche essentiellement tourné vers les pays asiatiques et les États-Unis, avait été placée en redressement judiciaire en avril dernier. 32 des 42 salariés s’étaient associés pour monter un projet de reprise sous forme de Scop (société coopérative de production). Ils avaient reçu le soutien du ministre délégué à l’Economie sociale, Benoît Hamon. Début novembre, le tribunal de commerce d’Annecy avait rejeté ce projet de reprise sous forme de Scop (société coopérative de production) pour lui préférer l’offre du groupe américano-singapourien Kolicke & Soffa (K&S). Le parquet d’Annecy avait fait appel de cette décision.
Benoît Hamon s’est réjoui « de cette bonne nouvelle » en soulignant que le projet des salariés était « solide » et disposait notamment d’un tour de table financier « assez robuste ». « La Scop est un modèle qui est en train d’apparaître comme une solution pour les reprises d’entreprises en difficultés« , a déclaré le ministre à l’AFP. Le ministre délégué à l’Economie sociale entend présenter en avril 2013 en conseil des ministres un projet de loi favorisant la reprise des entreprises en Scop « car c’est souvent un parcours du combattant ».
La cour d’appel de Chambéry a fixé le prix de cession à 300 000 euros, soit le prix proposé par la Scop. K&S offrait 500 000 euros. La coopérative s’est engagée à reprendre 37 contrats de travail sur 42.
Lire la suite sur le site de l’Humanité.
Sud Maroc • Solidarité avec Hamid Majdi et les mineurs de Bou Azzer
Le 17 novembre dernier, HAMID MAJDI responsable( unanimement reconnu pour son intégrité) du PSU (Parti Socialiste Unifié) de OUARZAZATE conseiller municipal de la même ville et Secrétaire général adjoint de l’Union locale du syndicat CDT, tombe dans un traquenard : rendant visite à sa mère à Marrakech il est subitement arrêté par la police qui fouillant dans le coffre de sa voiture, y trouve opportunément un paquet du haschich. Aussitôt incarcéré sous l’inculpation de «trafic de drogue», il sera mis en liberté provisoire sous caution 2 jours plus tard. Le mercredi 5 décembre il doit répondre devant le tribunal de Marrakech de la même accusation aberrante de trafic de drogue.
Ce mauvais « scénario makhzénien » , comme le qualifie Nabila MOUNIB, la Secrétaire générale du PSU, est bien entendu à reIier à l’appui déterminé que Hamid MAJDI a apporté à la dure lutte que mènent depuis des semaines les mineurs de la mine de cobalt de Bou Azzer (qui appartient à une filiale de l’ONA , le tout puissant holding de la famille royale), en grève pour voir reconnaitre leurs droits élémentaires : travail du week-end, congés payés, droits à la retraite etc… Ce mouvement de grève amplement justifié a été sauvagement réprimé par la Gendarmerie et les Forces Auxiliaires avec de nombreux blessés et surtout des licenciements par dizaines parmi les mineurs syndiqués à la CDT.
Le Parti de Gauche et ses co-présidents Martine BILLARD et Jean-Luc MELENCHON condamnent avec force ces pratiques répressives qui se multiplient dans tout le pays, expriment leur totale solidarité avec les travailleurs en lutte pour leurs justes revendications et exigent que le camarade Hamid MAJDI soit innocenté de la scandaleuse accusation portée contre son Intégrité et son honneur.
Conférences et Débats • Live – dimanche 11 novembre – 19h : Soirée Argentine en direct
La Télé de Gauche avec les Amis de l’Usine tentent pour la première fois une retransmission en direct de la soirée « Argentine » qui se déroulera ce soir à l’Usine du Front de Gauche. N’hésitez pas à commenter la vidéo pour nous faire part des problèmes que vous rencontrez et des améliorations que nous pourrions faire.
Vous pourrez ensuite revoir l’enregistrement, et, plus tard, avoir accès à une vidéo de meilleure qualité et une version audio.
Mittal • Nationalisation nécessaire !
Le Front de gauche dénonce un marché de dupes avec Mittal
et réaffirme la nécessité d’une nationalisation (FDG)
Jean Marc Ayrault et son gouvernement ont renoncé à la nationalisation et préféré le scénario d’un mauvais film dont la fin est déjà connue. Les salariés sont déçus et en colère : ce n’est pas un sursis ou une mort lente qu’ils revendiquaient mais un vrai engagement de l’Etat dans le capital de Florange, garantissant une intervention publique forte et créant les conditions d’une démocratie salariale pour un projet industriel d’avenir.
Au lieu de cela, le Premier Ministre leur a tourné le dos en pactisant avec « le diable de l’acier » sur de vagues promesses.
Un vrai tour de passe-passe où le loup reste dans la bergerie et promet de ne plus attaquer !
Comment le gouvernement peut il nous faire croire aux promesses du milliardaire L. Mittal quand celui ci dans tous les sites belges, luxembourgeois et français privilégie une stratégie financière contre l’investissement productif ?
Comment peut il défendre le chiffre de 180 millions d’euros d’investissements sur le site (moins qu’à Gandrange) quand le rapport ministériel Faure préconisait plus de 600 millions d’euros nécessaires pour relancer un projet industriel ambitieux avec Ulcos en ligne de mire ?La presse annonce que seuls 53 millions d’euros, sur 180 millions d’investissements promis sur 5 ans, seront consacrés à des « investissements stratégiques ».
Enfin, comment a-t il pu renoncer à la perspective du redémarrage des hauts fourneaux dans l’accord avec Mittal, en acceptant simplement un entretien qui couterait 8 millions d’euros par mois, 96 millions par an ?
Une nouvelle fois, les décisions prise au plus haut niveau de l’Etat sont une reculade devant les marchés financiers et devant le MEDEF qui ne veut pas entendre parler de nationalisation.
Pour le Front de gauche, la partie n’est pas terminée !
Nous avons besoin de production d’acier en France et cela doit passer par l’amélioration des conditions de production en intégrant les contraintes d’économie d’énergie et de moindre émission de gaz à effets de serre. C’est pourquoi la volonté de mettre en œuvre le projet Ulcos doit être confirmé.
Le Premier Ministre doit s’expliquer. Le contenu de l’accord entre le gouvernement et Mittal doit être entièrement rendu public. Le gouvernement ne doit pas se cacher derrière cet accord de dupes où le seul vainqueur est Mittal. Comme à Liège, c’est la fermeture annoncée. Il faut en finir avec les tractations opaques, les mensonges : les négociations doivent être transparentes.
Pour le Front de gauche une solution durable passe par la mise sous contrôle public et sous celui des salariés du site de Florange
Le Front de gauche est solidaire du combat des travailleurs d’Arcelor Mittal : avec eux nous disons « on ne lâche rien » et exigeons la nationalisation immédiate. Nous appelons d’ailleurs à signer la pétition des sidérurgistes qui porte cette exigence.
Rencontre • Parti de Gauche & Gauche Anticapitaliste
Le Parti de Gauche et Gauche Anticapitaliste, membres du Front de Gauche, se sont rencontrés pour faire le point sur la situation politique et le Front de Gauche.
A l’issue de cette réunion, ils ont conclu à de très larges convergences. Les deux organisations réaffirment leur opposition aux politiques d’austérité menées par le gouvernement qui s’enfonce tous les jours davantage dans la voie social libérale. Ils concluent que l’indépendance par rapport à cette politique et la construction d’une alternative majoritaire à l’austérité sont chaque jour plus nécessaires.
En conséquence, ils s’affirment en faveur du vote contre le budget 2013 au nom de la nécessaire lisibilité politique que réclame la période. Ils constatent cependant avec satisfaction la cohérence des positions du Front de Gauche depuis juin : vote contre le TSCG, loi de programmation budgétaire, refus du budget 2013 ainsi que l’annonce d’une grande campagne unitaire contre l’austérité pour les mois à venir.
Ils se réjouissent de leur commun engagement contre l’aéroport de Notre Dame des Landes. L’importance que le PG et GA attribuent à l’écologie politique s’est d’ailleurs concrétisée dans les Assises de l’écosocialisme, organisée à Paris le 1 décembre par le parti de gauche, dont les deux partis soulignent le succès. GA reçoit favorablement la proposition du PG d’un comité de pilotage sur l’écosocialisme composé de personnalités qui se reconnaissent dans ce concept. Il aurait pour fonction de poursuivre le travail d’élaboration autour de l’écoscialisme ainsi que de soutenir les initiatives à venir, comme les assises régionales qui s’annoncent déjà dans une dizaine de villes.
Les deux organisations ont conclu par la nécessité de rencontres fréquentes, en plus de leur coopération à la construction du Front de Gauche.
Un gouvernement sans visages
Mais alors quand disaient-ils la vérité ? Quand Montebourg voulait nationaliser ou quand Ayrault explique que ce n’est pas une bonne idée ? Quand le gouvernement avait un repreneur pour Florange ou quand il dit qu’il n’a jamais existé ? Quand il disait ne plus vouloir Mittal en France ou quand il signe un accord prévoyant de nouveaux investissements publics pour permettre à Mittal de rester ? Le fait que ces propos contradictoires aient été tenus par des personnages différents, notamment Montebourg et Ayrault, ne change rien à l’affaire. Si tout gouvernement repose sur un principe de solidarité c’est pour donner du poids à sa parole. Quand un ministre parle, c’est l’exécutif qui s’exprime. Et qui s’engage. Si les ministres parlent en leur nom personnel, leur parole n’a aucune valeur et l’Etat pas plus de crédibilité que le bureau national du PS. Dans ce cas qui gouverne pour de vrai ? L’histoire désastreuse d’Arcelor en donne une idée. C’est le « marché », c’est-à-dire les détenteurs du capital. La seule parole suivie de conséquences effectives a été celle de Laurence Parisot. Il a suffi qu’elle écarte toute idée de nationalisation, même provisoire, pour que dès le lendemain Ayrault embraie puis se couche.
L’accord signé par le premier ministre avec Mittal contredit non seulement la nationalisation avancée par Montebourg mais aussi, une nouvelle fois, les engagements du candidat Hollande à affronter le monde de la finance. Pour une fois, la finance n’était pas « sans visage ». Elle avait celui de Lakshmi Mittal. Ce dernier n’est pas un industriel mais un prédateur financier. Mittal est depuis quelques années administrateur de Goldman Sachs. C’est cette banque qui a monté en 2006 son OPA hostile sur Arcelor. Quand Mittal lance son raid boursier, Arcelor est le premier groupe sidérurgique au monde. Mais son actionnariat est fragile. Les gouvernements européens convertis au libéralisme ont renoncé à le contrôler (sauf les Luxembourgeois qui obtiendront de ce fait le maintien du siège social dans leur pays). Le petit Mittal, qui promet d’annuler tous les projets de restructuration d’Arcelor, réussit son coup. Commence ensuite la mise en coupe réglée du groupe. Il se paye d’abord, avec sa famille (sa fille devient administratrice et son fils de 23 ans directeur financier), devenant la 6e fortune du monde, se versant l’an dernier 943 millions de dividendes sur un total de 2,3 milliards d’euros, plus que le bénéfice net de 2,2 milliards. Il faut aussi payer les banques. Le groupe fait face à un endettement gigantesque. Alors que le marché mondial de l’acier s’est retourné, Mittal doit rembourser plus de 6 milliards d’euros entre 2013 et 2014. Sa dette est désormais notée comme junk bonds et lui coûte de plus en plus cher.
C’est dire le peu de valeur de l’accord signé entre Ayrault et Mittal. Le groupe est en réalité dans les mains de Goldman Sachs. Ayrault a décidé que le contenu de cet accord resterait secret contrairement à ce que réclament les syndicats. Et la transparence ? Et le dialogue social ? C’est que son contenu doit être spécialement lamentable. Le communiqué de presse publié par Mittal ne reprend même pas les éléments annoncés à la presse, notamment la relance des hauts fourneaux avec le projet ULCOS. C’est la collectivité qui paiera les salariés mis au chômage partiel. Le publier serait révéler le vrai gouvernement du pays : Parisot premier ministre, Mittal ministre du pillage improductif et Goldman Sachs au pompage des finances.