Le contre-budget 2014 du Parti de Gauche
Réaction à l’agression armée (Libération, BFM TV)
L’ odieuse agression armée dont a du souffrir Libération après Bfmtv montre la montée d’ une violence qui se généralisera contre tout ce qui peut représenter la liberté d’expression.
Que cette agression soit l’œuvre d’ un déséquilibré ou d’un acte politique, elle révèle une ambiance. Des violences sans armes ont déjà eu lieu contre des bâtiments religieux et des personnes. Nos locaux, nos militants et nos dirigeants ont eu a en souffrir également.
Aucune plainte n’aboutit.
Souhaitons que la visibilité de cet acte barbare permette de briser la spirale de l’insensibilité médiatique autant que celle de la violence.
J’exprime ma compassion aux victimes et ma disponibilité pour agir en défense de la sécurité de la presse.
TVA, on t’aura !
Ayrault et Moscovici sont catégoriques. Le gouvernement ne reviendra pas sur la hausse de la TVA prévue le 1er janvier. Cette mesure serait nécessaire pour financer les 20 milliards d’euros donnés au patronat. Selon Moscovici, « c’est par l’entreprise que va reprendre l’économie française : la TVA est faite pour financer en partie cet effort ». Ayrault insiste : la hausse est nécessaire car « cela va permettre de financer la baisse du coût du travail pour toutes les entreprises ». Ils confirment ce faisant leur ralliement à la thèse néolibérale selon laquelle le problème de l’économie française serait le « coût du travail » bien plus par exemple que la contraction de la consommation intérieure que la hausse de la TVA ne peut qu’aggraver (voir le dossier). Ils annoncent la poursuite d’une politique qui a échoué lorsque l’UMP la mettait en œuvre et n’est pas devenue plus efficace parce que c’est le PS qui l’applique désormais.
Quant à la fermeté qu’ils affichent à la veille de la manifestation du 1er décembre, elle vaut ce que vaut la parole des ministres concernés, c’est-à-dire rien. Lorsque la presse bruissait de la rumeur d’une hausse programmée de la TVA, en septembre 2012, Ayrault n’avait-il pas déclaré : « C’est une invention pure et simple. On vient de supprimer la TVA Sarkozy en juillet au Parlement, ce n’est pas pour la remettre en place » ? Ils avaient promis de l’abroger, ils l’ont adoptée. Ils jurent maintenant de la maintenir, ils l’abrogeront !
Il a d’ailleurs suffi du simple appel à manifester le 1er décembre contre la hausse de la TVA pour que cette exigence fasse son apparition au cœur des cercles solfériniens. Le pouvoir actuel est tétanisé par cette hausse dont il n’attend rien de bon sur le plan économique ni politique. Personne n’arrive à la défendre. Les conseillers de Matignon et de l’Elysée confient anonymement leurs états d’âmes aux médias. « Remanier et renoncer à augmenter la TVA, ça aurait du sens », déclare même un député. Il faut renoncer au crédit d’impôt au moins pour les professions règlementées non soumises à la concurrence et celles qui échappent à la concurrence internationale comme la grande distribution, afin d’abroger la hausse de la TVA, plaide un autre. La conjonction d’une contestation dans la rue et d’un rendez-vous électoral en mars prochain sème la panique dans les rangs du PS. Ce parti dominant en Bretagne n’a-t-il pas été effacé en un instant, incapable de réagir à la mobilisation des bonnets rouges voire défilant avec eux ? Céder la rue passe encore, mais personne au PS n’est prêt à céder des positions électorales.
Il est d’ailleurs un signe qui ne trompe pas. Le monde de la finance craint que le gouvernement ne recule devant la mobilisation populaire contre la hausse de la TVA. L’agence de notation S&P a dégradé récemment la note de la France pour maintenir la pression sur « l’agenda de réformes ». Et la semaine dernière, la commission de Bruxelles a estimé que les réformes imposées à notre pays en contrepartie d’un délai supplémentaire pour atteindre les 3% de déficits avaient été insuffisantes, notamment en matière de démantèlement des retraites et de flexibilité du marché du travail.
Pendant que le paysage politique se disloque et que le pouvoir se paralyse, les austéritaires partisans du tour de vis sans fin se préparent donc au grand bras de fer. Avec la marche du 1er décembre, les adversaires de l’austérité sont à l’initiative et tapent juste en liant le refus des politiques austéritaires et le combat contre l’injustice fiscale.
Moyen-Orient : c’est l’ensemble de la région qui doit être dénucléarisé et désarmé
En visite en Israël, François Hollande a adopté sur le nucléaire iranien la position des néo-conservateurs étasuniens et du gouvernement de droite et d’extrême droite israélien. Ce faisant, il a ciblé l’Iran, pris isolément, comme principale menace pour la paix dans la région et le monde.
Ce positionnement interdit tout progrès sur la non-prolifération, qui doit être couplée avec la question du désarmement nucléaire et réglée au niveau régional. C’est une absurdité de prétendre, avec une quelconque efficacité, exiger de l’Iran de se conformer au Traité de non-prolifération (TNP), sous prétexte qu’il l’a signé, sans rien demander en matière de désarmement aux trois pays « proliférant » situés à proximité de l’Iran, l’Inde, le Pakistan et bien sûr Israël, au seul prétexte qu’ils n’ont pas signé le TNP.
C’est une faute de rompre avec la tradition diplomatique d’une France médiatrice qui, par exemple, avait su par la négociation obtenir en 2003 de l’Iran l’arrêt de l’enrichissement de son uranium. La France doit oeuvrer à l’instauration de la paix au Moyen-Orient. Pour ce faire, elle doit promouvoir le désarmement régional – tant sur les arsenaux chimiques que nucléaires – comme objectif politique et diplomatique. C’est cette position que notre pays doit défendre dans le cadre des négociations sur le nucléaire iranien qui reprendront à Genève mardi 19 novembre.
Moyen-Orient : c’est l’ensemble de la région qui doit être dénucléarisé et désarmé
En visite en Israël, François Hollande a adopté sur le nucléaire iranien la position des néo-conservateurs étasuniens et du gouvernement de droite et d’extrême droite israélien. Ce faisant, il a ciblé l’Iran, pris isolément, comme principale menace pour la paix dans la région et le monde.
Ce positionnement interdit tout progrès sur la non-prolifération, qui doit être couplée avec la question du désarmement nucléaire et réglée au niveau régional. C’est une absurdité de prétendre, avec une quelconque efficacité, exiger de l’Iran de se conformer au Traité de non-prolifération (TNP), sous prétexte qu’il l’a signé, sans rien demander en matière de désarmement aux trois pays « proliférant » situés à proximité de l’Iran, l’Inde, le Pakistan et bien sûr Israël, au seul prétexte qu’ils n’ont pas signé le TNP.
C’est une faute de rompre avec la tradition diplomatique d’une France médiatrice qui, par exemple, avait su par la négociation obtenir en 2003 de l’Iran l’arrêt de l’enrichissement de son uranium. La France doit oeuvrer à l’instauration de la paix au Moyen-Orient. Pour ce faire, elle doit promouvoir le désarmement régional – tant sur les arsenaux chimiques que nucléaires – comme objectif politique et diplomatique. C’est cette position que notre pays doit défendre dans le cadre des négociations sur le nucléaire iranien qui reprendront à Genève mardi 19 novembre.
Ligne SNCF La Rochelle/La Roche s/Yon la mobilisation a payé !
Dés le 12 décembre 2012, le Parti de Gauche rejoignait l’action des associations de défense des usagers et s’exprimait pour dire « STOP à la casse ! Développez la liaison ferroviaire LA ROCHELLE – LA ROCHE/YON ! ». Nous exigions « Une autre politique ferroviaire » et déclarions que la ligne Bordeaux/Nantes et sa section La Roche-sur-Yon<>La Rochelle a forte potentialité « doit être modernisée et développée ! »
Nous appelions à participer au rassemblement du 19 décembre 2012 à la DDTM ’Direction Départementale des Territoires et de la mer) de LA ROCHELLE.
Un an plus tard, les choses ont bougé…. dans le bon sens !
Le 15 Novembre alors qu’un nouveau rassemblement était organisé à la DDTM par les associations (et auquel le PG avait appelé), des décisions ont été prises lors du comité de pilotage de la ligne Nantes-Bordeaux.
– La double voie La Roche s/Yon – La Rochelle est maintenue et et sa modernisation (régénération) est actée ».
– Le comité qui se composait d’élus de l’agglomération de La Rochelle, de Charente-Maritime et de Vendée et des trois Régions : Pays de la Loire, Poitou-Charente et Aquitaine, va inscrire dans les textes le projet de modernisation de la signalisation qui a été initié suite à l’accident de Brétigny-sur-Orge.
« Cela facilitera les financements », estime Jean-Paul Juillet, le président d’AUT (association des usagers du train).
Le comité va lancer une étude « pour améliorer la signalisation du système ferroviaire », ce qui permettra d’augmenter le trafic. « Cette ligne, qui est utilisée par 1,5 million de voyageurs par an, si elle est modernisée, pourrait passer à 2,5 millions de personnes transportées. ». Il salue entre autre la mobilisation des cheminots et de son association et espère « qu’un arrêt à Velluire sera pris en compte dans les projets de modernisation ».
Le PG se félicite de cette avancée concrète
Cependant la vigilance reste de mise tant que les travaux ne seront pas menés à leur terme.
En tout état de cause, cette avancée significative témoigne que la défense et l’amélioration des services publics est possible y compris dans le cadre de la politique gouvernementale actuelle
Mais l’action n’est pas close.
Alors que la section La Roche-sur-Yon<>La Rochelle a connu pour 2010 une augmentation de la fréquentation de 26 % par rapport à 2009 et que celle-ci s’est poursuivie en 2011 (+ 8 %) il convient de ne pas attendre 2020 (comme l’envisage La région des Pays de la Loire) pour augmenter le nombre des circulations des TER entre Nantes et La Rochelle.
Dans le même sens, un projet de desserte périurbaine entre La Rochelle et Marans est à l’étude par la Région Poitou-Charentes auquel pourrait être ajouté la réouverture de la gare de Velluire pour la desserte TER de Fontenay-le-Comte (distante de 10 km). Il est temps de passer aux actes. La demande de transport collectif est telle que d’autres réouvertures de gare sont envisageables, comme par exemple Le Champs St Pères, Nalliers et Dompierre sur Mer. Reste aussi à obtenir dans les faits la modernisation des matériels roulants.
Le Parti de Gauche soutiendra toutes initiatives en ce sens.
Ligne SNCF La Rochelle/La Roche s/Yon la mobilisation a payé !
Dés le 12 décembre 2012, le Parti de Gauche rejoignait l’action des associations de défense des usagers et s’exprimait pour dire « STOP à la casse ! Développez la liaison ferroviaire LA ROCHELLE – LA ROCHE/YON ! ». Nous exigions « Une autre politique ferroviaire » et déclarions que la ligne Bordeaux/Nantes et sa section La Roche-sur-Yon<>La Rochelle a forte potentialité « doit être modernisée et développée ! »
Nous appelions à participer au rassemblement du 19 décembre 2012 à la DDTM ’Direction Départementale des Territoires et de la mer) de LA ROCHELLE.
Un an plus tard, les choses ont bougé…. dans le bon sens !
Le 15 Novembre alors qu’un nouveau rassemblement était organisé à la DDTM par les associations (et auquel le PG avait appelé), des décisions ont été prises lors du comité de pilotage de la ligne Nantes-Bordeaux.
– La double voie La Roche s/Yon – La Rochelle est maintenue et et sa modernisation (régénération) est actée ».
– Le comité qui se composait d’élus de l’agglomération de La Rochelle, de Charente-Maritime et de Vendée et des trois Régions : Pays de la Loire, Poitou-Charente et Aquitaine, va inscrire dans les textes le projet de modernisation de la signalisation qui a été initié suite à l’accident de Brétigny-sur-Orge.
« Cela facilitera les financements », estime Jean-Paul Juillet, le président d’AUT (association des usagers du train).
Le comité va lancer une étude « pour améliorer la signalisation du système ferroviaire », ce qui permettra d’augmenter le trafic. « Cette ligne, qui est utilisée par 1,5 million de voyageurs par an, si elle est modernisée, pourrait passer à 2,5 millions de personnes transportées. ». Il salue entre autre la mobilisation des cheminots et de son association et espère « qu’un arrêt à Velluire sera pris en compte dans les projets de modernisation ».
Le PG se félicite de cette avancée concrète
Cependant la vigilance reste de mise tant que les travaux ne seront pas menés à leur terme.
En tout état de cause, cette avancée significative témoigne que la défense et l’amélioration des services publics est possible y compris dans le cadre de la politique gouvernementale actuelle
Mais l’action n’est pas close.
Alors que la section La Roche-sur-Yon<>La Rochelle a connu pour 2010 une augmentation de la fréquentation de 26 % par rapport à 2009 et que celle-ci s’est poursuivie en 2011 (+ 8 %) il convient de ne pas attendre 2020 (comme l’envisage La région des Pays de la Loire) pour augmenter le nombre des circulations des TER entre Nantes et La Rochelle.
Dans le même sens, un projet de desserte périurbaine entre La Rochelle et Marans est à l’étude par la Région Poitou-Charentes auquel pourrait être ajouté la réouverture de la gare de Velluire pour la desserte TER de Fontenay-le-Comte (distante de 10 km). Il est temps de passer aux actes. La demande de transport collectif est telle que d’autres réouvertures de gare sont envisageables, comme par exemple Le Champs St Pères, Nalliers et Dompierre sur Mer. Reste aussi à obtenir dans les faits la modernisation des matériels roulants.
Le Parti de Gauche soutiendra toutes initiatives en ce sens.
Jacques Généreux : la priorité, c’est de sauver l’Europe, pas l’euro
« Hollande va à la catastrophe », dit l’économiste du Parti de Gauche qui raconte à Rue89 ce qui se passerait « si Mélenchon était Président », et lui Premier ministre.
Si le gouvernement français est dans une telle nasse, pensent de nombreuses personnes à gauche, c’est parce qu’il est prisonnier des règles de la zone euro, qui le privent de toute marge de manœuvre.
C’est la conviction d’Arnaud Montebourg, de Jean-Pierre Chevènement, ou encore de Jean-Luc Mélenchon. Pourtant, sur la scène politique, seule Marine Le Pen apparaît comme celle qui pointe ouvertement le rôle de la monnaie unique dans cette crise qui se prolonge. Une situation qui n’est pas forcément très saine, car le débat sur les responsabilités de l’euro n’est pas illégitime. Il aurait pu être porté par le Parti de Gauche, mais Jean-Luc Mélenchon n’a pas osé franchir le pas, considérant que ce serait politiquement irresponsable.
Faut-il sauver coûte que coûte l’euro ? J’ai voulu aller au fond du sujet avec l’économiste du Parti de Gauche, Jacques Généreux, professeur à Sciences-Po Paris. L’interview est longue, mais qu’on partage ou non les idées de Jacques Généreux, sa lecture intégrale est éclairante.
« La gauche a tué l’Europe »Il faut changer les traités européensLa monnaie contre la detteNe pas faire de l’euro un bouc émissaire« Si tout le monde dévalue, le gain est où ? »Sortir de la crise, mode d’emploi
Comment proposez-vous de changer la donne ?
On ne peut pas changer la donne sans changer les traités européens. Le seul moyen de sortir de cette situation est de se débarrasser du fardeau de la dette excessive, mais sans sacrifier les dépenses publiques (car il faut aussi soutenir l’activité et l’emploi). L’équation a l’air compliquée, elle ne l’est pas.
D’abord, il faut dépenser plus, mais sans aggraver les déficits. Comment ? En trouvant des ressources inutilisées. Il en existe : on peut ainsi récupérer l’argent oisif accumulé dans des patrimoines et autres biens de luxe, qui sont alimentés par les niches fiscales. Selon l’Inspection générale des finances, sur les 150 milliards d’euros de niches fiscales, 70 milliards n’ont pas d’effet réel positif sur l’économie…
Pour les récupérer, il suffit de restaurer la norme fiscale. Plus globalement, au lieu de créer des impôts ici et là, d’une semaine à l’autre, il aurait fallu faire une grande réforme fiscale, claire, débattue. Si l’on appliquait déjà simplement le barême de l’impôt sur les revenus du début des années 90, cela rapporterait 17 milliards d’euros…
La lutte contre la fraude fiscale est également un gisement possible. Il suffit de s’en donner les moyens : les Italiens ont récupéré 10 milliards en traquant les fraudeurs. En France, l’exploitation d’une seule liste, celle des clients de HSBC, a permis de récupérer 1,5 milliard. Des dizaines de milliards d’euros peuvent être récupérés en créant un service fiscal sérieux.
Jacques Généreux : la priorité, c’est de sauver l’Europe, pas l’euro
« Hollande va à la catastrophe », dit l’économiste du Parti de Gauche qui raconte à Rue89 ce qui se passerait « si Mélenchon était Président », et lui Premier ministre.
Si le gouvernement français est dans une telle nasse, pensent de nombreuses personnes à gauche, c’est parce qu’il est prisonnier des règles de la zone euro, qui le privent de toute marge de manœuvre.
C’est la conviction d’Arnaud Montebourg, de Jean-Pierre Chevènement, ou encore de Jean-Luc Mélenchon. Pourtant, sur la scène politique, seule Marine Le Pen apparaît comme celle qui pointe ouvertement le rôle de la monnaie unique dans cette crise qui se prolonge. Une situation qui n’est pas forcément très saine, car le débat sur les responsabilités de l’euro n’est pas illégitime. Il aurait pu être porté par le Parti de Gauche, mais Jean-Luc Mélenchon n’a pas osé franchir le pas, considérant que ce serait politiquement irresponsable.
Faut-il sauver coûte que coûte l’euro ? J’ai voulu aller au fond du sujet avec l’économiste du Parti de Gauche, Jacques Généreux, professeur à Sciences-Po Paris. L’interview est longue, mais qu’on partage ou non les idées de Jacques Généreux, sa lecture intégrale est éclairante.
« La gauche a tué l’Europe »Il faut changer les traités européensLa monnaie contre la detteNe pas faire de l’euro un bouc émissaire« Si tout le monde dévalue, le gain est où ? »Sortir de la crise, mode d’emploi
Agression de militants du parti de gauche
La violence prônée par l’extrême droite lors des manifestations contre le mariage pour tous continue de se déchaîner.
Des militants du Parti de gauche ont été agressés le 11 novembre alors qu’ils collaient des affiches. Des propos à l’encontre de Jean-Luc Mélenchon ont été prononcés, et un militant du parti de gauche a été frappé au visage.
Une plainte a été déposée, un des agresseurs a été interpellé. Ces événements surviennent après des menaces de mort contre des militantes et trois dégradations de locaux du PG en un mois.
Nous demandons à M. Valls qu’il donne des instructions pour que l’enquête soit menée à son terme et que tous les auteurs soient identifiés et traduits en justice. »
Le Parti de Gauche