RER • Mobilisation dans l’Essonne
Le comité de la 6eme circonscription de l’Essonne (Parti de Gauche) organisait le 12 janvier 2013 une réunion publique sur les transports à Massy (91)(en particulier le RER B). Existe-t-il une alternative à la triste situation que vive des milliers de voyageurs chaque jour (900 000)? Cette réunion qui a réuni des usagers, des syndicalistes (l’ensemble des organisations syndicales de la ligne B étaient présents (CGT, FO, Unsa)), des composantes du Front de Gauche (PCF,PG,PCOF) a été un succès qui a servi de déclencheur pour une initiative d’une plus grande ampleur pilotée par le Front de Gauche d’Orsay (PC/PG). L’objectif est de lancer une opération suffisamment forte sur l’ensemble de la ligne afin d’interpeller les usagers, les pouvoirs publics sur un ensemble de propositions que nous faisons, fruit d’un travail organisé avec les organisations syndicales. Nous voulons impliquer le mardi 19 février, les usagers, les syndicalistes et nos partis du front de gauche dans une démonstration de force contre une politique financière pratiquée dans les services publics. Cette action se déroule dans un premier temps sur la partie Sud de la ligne (domaine RATP).
D’autres actions sont en préparation sur la partie Nord de la ligne. J’ai été responsable CGT de cette ligne de 1997 à 2012. J’ai donc eu à traiter avec mes camarades des dossiers économiques avec les différents présidents en charge de la gestion de cette entreprise de plus de 40 000 salariés (RATP). Depuis 2004 , nous n’avons eu de cesse d’alerter les directions et le STIF sur le danger de laisser une charge d’usagers augmenter sur 10 ans (30%) sans se donner les moyens de moderniser nos structures.Il n’y a pas de fatalité. Tout a été pensé et calculé. Le service public devient une véritable marchandise qui profite aux plus ambitieux. Bientôt , le Grand Paris (au mois de mars probablement) occupera les débats politiques (entre 25 et 30 milliards) alors qu 1/10 de cette somme pourrait permettre de construire un deuxième tunnel à Châtelet (temps des travaux , 3 années) et ainsi permettre de doubler la capacité de transporter aux heures de pointe sur la B mais également la ligne D du RER( 600 000 voyageurs). Cela demande du courage politique et une réelle envie de satisfaire le plus grand nombre d’usagers à court terme. Les directions (RATP /SNCF) refusent un tel choix car ce serait avouer que le projet interopérabilité (où circulation de bout en bout de la ligne RATP, SNCF depuis le 13 novembre 2009) est un échec. En terme de compétitivité cette opération a conduit à la suppression de 30 emplois statutaires de conducteurs et une productivité affichée de 5% quand le STIF en exigeait 0,5%.
C’est un bras de fer que nous engageons, la raison l ’emportera t elle sur les ambitions de quelques énarques? Vaincre l’oligarchie est un beau défi car il pourrait permettre de laisser vivre plus de démocratie participative. Les syndicalistes , les usagers, et le Front de Gauche doivent être entendus. Rendez vous le mardi 19 février sur la ligne B de 7h à 9h sur toute la ligne de ST Rémy les chevreuse à la gare de Gentilly. Un point presse sera organisé à Massy en présence de François, Pascale et bien d’autres acteurs politiques se rendant disponible pour ce premier rendez vous. Un grand merci à Marie Pierre Oprendi, élue à Massy, qui à chaque bulletin municipal rend compte de nos travaux.
Philippe Juraver
Pour l’action : Télécharger le tract et une affichette au format A4
RER • Mobilisation dans l’Essonne
Le comité de la 6eme circonscription de l’Essonne (Parti de Gauche) organisait le 12 janvier 2013 une réunion publique sur les transports à Massy (91)(en particulier le RER B). Existe-t-il une alternative à la triste situation que vive des milliers de voyageurs chaque jour (900 000)? Cette réunion qui a réuni des usagers, des syndicalistes (l’ensemble des organisations syndicales de la ligne B étaient présents (CGT, FO, Unsa)), des composantes du Front de Gauche (PCF,PG,PCOF) a été un succès qui a servi de déclencheur pour une initiative d’une plus grande ampleur pilotée par le Front de Gauche d’Orsay (PC/PG). L’objectif est de lancer une opération suffisamment forte sur l’ensemble de la ligne afin d’interpeller les usagers, les pouvoirs publics sur un ensemble de propositions que nous faisons, fruit d’un travail organisé avec les organisations syndicales. Nous voulons impliquer le mardi 19 février, les usagers, les syndicalistes et nos partis du front de gauche dans une démonstration de force contre une politique financière pratiquée dans les services publics. Cette action se déroule dans un premier temps sur la partie Sud de la ligne (domaine RATP).
D’autres actions sont en préparation sur la partie Nord de la ligne. J’ai été responsable CGT de cette ligne de 1997 à 2012. J’ai donc eu à traiter avec mes camarades des dossiers économiques avec les différents présidents en charge de la gestion de cette entreprise de plus de 40 000 salariés (RATP). Depuis 2004 , nous n’avons eu de cesse d’alerter les directions et le STIF sur le danger de laisser une charge d’usagers augmenter sur 10 ans (30%) sans se donner les moyens de moderniser nos structures.Il n’y a pas de fatalité. Tout a été pensé et calculé. Le service public devient une véritable marchandise qui profite aux plus ambitieux. Bientôt , le Grand Paris (au mois de mars probablement) occupera les débats politiques (entre 25 et 30 milliards) alors qu 1/10 de cette somme pourrait permettre de construire un deuxième tunnel à Châtelet (temps des travaux , 3 années) et ainsi permettre de doubler la capacité de transporter aux heures de pointe sur la B mais également la ligne D du RER( 600 000 voyageurs). Cela demande du courage politique et une réelle envie de satisfaire le plus grand nombre d’usagers à court terme. Les directions (RATP /SNCF) refusent un tel choix car ce serait avouer que le projet interopérabilité (où circulation de bout en bout de la ligne RATP, SNCF depuis le 13 novembre 2009) est un échec. En terme de compétitivité cette opération a conduit à la suppression de 30 emplois statutaires de conducteurs et une productivité affichée de 5% quand le STIF en exigeait 0,5%.
C’est un bras de fer que nous engageons, la raison l ’emportera t elle sur les ambitions de quelques énarques? Vaincre l’oligarchie est un beau défi car il pourrait permettre de laisser vivre plus de démocratie participative. Les syndicalistes , les usagers, et le Front de Gauche doivent être entendus. Rendez vous le mardi 19 février sur la ligne B de 7h à 9h sur toute la ligne de ST Rémy les chevreuse à la gare de Gentilly. Un point presse sera organisé à Massy en présence de François, Pascale et bien d’autres acteurs politiques se rendant disponible pour ce premier rendez vous. Un grand merci à Marie Pierre Oprendi, élue à Massy, qui à chaque bulletin municipal rend compte de nos travaux.
Philippe Juraver
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Bastamag • Les forêts françaises, nouvel eldorado industriel ?
Le bois en tant qu’énergie renouvelable suscite les convoitises. Des projets de scieries géantes et d’usines de cogénération sortent des cartons. Et menacent l’équilibre d’une filière déjà fragilisée par les délocalisations et la spéculation. Face à l’exploitation intensive de la forêt qui se dessine, des artisans et des PME prônent la mutualisation et les filières courtes.
C’est un gigantesque complexe industriel de sciage et de production d’énergie renouvelable au cœur du Morvan. Le petit village de Sardy-lès-Epiry (Nièvre) a été choisi par l’entreprise Erscia – Energies renouvelables et sciages de France – pour accueillir son futur pôle industriel. La création de 120 emplois directs est annoncée. Les ateliers débiteront près d’un million de m3 de bois par an tout en produisant de l’électricité par cogénération. Bref, création d’emplois se conjuguerait avec transition écologique et réindustrialisation. De quoi se réjouir ? Pas si sûr.
Approuvé par la quasi-totalité des élus locaux, le projet Erscia est vivement critiqué par une partie de la population. Ses détracteurs mettent en avant les risques de déforestation, de pollutions atmosphériques liées à la cogénération, la destruction des industries locales déjà installées, le trafic de camions, et la perte de ressources touristiques, importantes dans le Morvan (voir notamment leur site). Et les 250 000 tonnes de granulés de bois produits alimenteront une usine d’électricité d’Electrabel en… Belgique [1]. Le projet dessine aussi une nouvelle manière d’exploiter les forêts, qui pourrait bien se révéler davantage destructrice d’emplois et de ressources.
Vers une Wood Valley française ?
Son promoteur Pascal Jacob, considère le Morvan comme la future « Wood Valley » française. L’enjeu : la production massive de bois énergie pour alimenter, entre autres, les chauffages au bois, dont la vente ne cesse de progresser. Car la biomasse est à la mode. C’est l’une des principales énergies renouvelables aux côtés de l’hydraulique, de l’éolien et du solaire. « La France accuse un tel retard dans les secteurs éolien et photovoltaïque que pour honorer ses engagements européens de 20% d’énergies renouvelables d’ici 2020, elle mise quasiment tout sur la biomasse, en particulier le bois », prévient René Montagnon, membre de la commission Forêt d’Europe écologie Les Verts. La ministre de l’Écologie Delphine Batho considère d’ailleurs la biomasse comme « une énergie majeure du mix énergétique français » [2] !
Lire la suite sur Bastamag !
Bastamag • Les forêts françaises, nouvel eldorado industriel ?
Le bois en tant qu’énergie renouvelable suscite les convoitises. Des projets de scieries géantes et d’usines de cogénération sortent des cartons. Et menacent l’équilibre d’une filière déjà fragilisée par les délocalisations et la spéculation. Face à l’exploitation intensive de la forêt qui se dessine, des artisans et des PME prônent la mutualisation et les filières courtes.
C’est un gigantesque complexe industriel de sciage et de production d’énergie renouvelable au cœur du Morvan. Le petit village de Sardy-lès-Epiry (Nièvre) a été choisi par l’entreprise Erscia – Energies renouvelables et sciages de France – pour accueillir son futur pôle industriel. La création de 120 emplois directs est annoncée. Les ateliers débiteront près d’un million de m3 de bois par an tout en produisant de l’électricité par cogénération. Bref, création d’emplois se conjuguerait avec transition écologique et réindustrialisation. De quoi se réjouir ? Pas si sûr.
Approuvé par la quasi-totalité des élus locaux, le projet Erscia est vivement critiqué par une partie de la population. Ses détracteurs mettent en avant les risques de déforestation, de pollutions atmosphériques liées à la cogénération, la destruction des industries locales déjà installées, le trafic de camions, et la perte de ressources touristiques, importantes dans le Morvan (voir notamment leur site). Et les 250 000 tonnes de granulés de bois produits alimenteront une usine d’électricité d’Electrabel en… Belgique [1]. Le projet dessine aussi une nouvelle manière d’exploiter les forêts, qui pourrait bien se révéler davantage destructrice d’emplois et de ressources.
Vers une Wood Valley française ?
Son promoteur Pascal Jacob, considère le Morvan comme la future « Wood Valley » française. L’enjeu : la production massive de bois énergie pour alimenter, entre autres, les chauffages au bois, dont la vente ne cesse de progresser. Car la biomasse est à la mode. C’est l’une des principales énergies renouvelables aux côtés de l’hydraulique, de l’éolien et du solaire. « La France accuse un tel retard dans les secteurs éolien et photovoltaïque que pour honorer ses engagements européens de 20% d’énergies renouvelables d’ici 2020, elle mise quasiment tout sur la biomasse, en particulier le bois », prévient René Montagnon, membre de la commission Forêt d’Europe écologie Les Verts. La ministre de l’Écologie Delphine Batho considère d’ailleurs la biomasse comme « une énergie majeure du mix énergétique français » [2] !
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Grenoble • Inauguration politique du local du PG38
Voici en images une présentation de la soirée d’inauguration politique du tout nouveau local du Parti de Gauche de l’Isère qui a eu lieu à Grenoble jeudi 7 février.
Si comme à l’inauguration militante vous ne verrez pas salle comble et débordante c’est tout simplement parce que nous avions décidé pour cette occasion d’inviter en priorité les représentants d’associations actives, des syndicats et bien évidemment de nos partenaires membres du Front de Gauche, mais également de partis politique au de-là, voire en-deçà, s’il est vraiment respectueux de s’exprimer ainsi.
Ce fut une réussite dans le sens où la gauche grenobloise qui est en nombre conséquente mais en qualité morcelée de longue date se trouva ce jour réunie dans une ambiance quasiement festive. Ainsi, comme on peut le voir sur les images, au de-là de la confection d’une profusion de vin chaud et de cakes au lard, les militants locaux ont goûté leur plaisir ennivré de cette sensation nouvelle ressemblant parfois à de la franche camaraderie entre membres de différents partis jamais réunis! Le Front du Peuple est il en marche à Grenoble?
Après une allocution de nos deux co-secrétaires départementaux, Elisa Martin et Alain Dontaine, la parole fut donnée à deux acteurs de la scène politique locale et internationale afin de profiter de l’occasion de cette réunion pour que leur message rejaillisse auprès de l’ensemble des responsable ce jour réunis.
Leur témoignage ne figurant pas dans le film pour des questions de formats, de temps, il m’apparaît important d’en dire un mot maintenant. Alain Denoyelle s’est fait l’echo du mouvement du collectif de défense du Lycée Mounier (visite de soutien de JLM) qui subit l’acharnement, maintenant juridique (renvoi en correctinnelle pour faits mineurs, pétition ici ) du recteur mis en place par Nicolas S.. Sadok Bouzaïene quant à lui, personnalité franco-tunisienne qui connaïssait Chokri Belaïd assasssiné la veille en Tunisie et animateur régional du Front Populaire (tunisien) nous lut une déclaration appelant à un rassemblement de soutien à la démocratie tunisienne et au processus révolutionnaire.
Bon visionnage à touTEs.
Inauguration « politique » du local départemental… par bricomPG38org
Grenoble • Inauguration politique du local du PG38
Voici en images une présentation de la soirée d’inauguration politique du tout nouveau local du Parti de Gauche de l’Isère qui a eu lieu à Grenoble jeudi 7 février.
Si comme à l’inauguration militante vous ne verrez pas salle comble et débordante c’est tout simplement parce que nous avions décidé pour cette occasion d’inviter en priorité les représentants d’associations actives, des syndicats et bien évidemment de nos partenaires membres du Front de Gauche, mais également de partis politique au de-là, voire en-deçà, s’il est vraiment respectueux de s’exprimer ainsi.
Ce fut une réussite dans le sens où la gauche grenobloise qui est en nombre conséquente mais en qualité morcelée de longue date se trouva ce jour réunie dans une ambiance quasiement festive. Ainsi, comme on peut le voir sur les images, au de-là de la confection d’une profusion de vin chaud et de cakes au lard, les militants locaux ont goûté leur plaisir ennivré de cette sensation nouvelle ressemblant parfois à de la franche camaraderie entre membres de différents partis jamais réunis! Le Front du Peuple est il en marche à Grenoble?
Après une allocution de nos deux co-secrétaires départementaux, Elisa Martin et Alain Dontaine, la parole fut donnée à deux acteurs de la scène politique locale et internationale afin de profiter de l’occasion de cette réunion pour que leur message rejaillisse auprès de l’ensemble des responsable ce jour réunis.
Leur témoignage ne figurant pas dans le film pour des questions de formats, de temps, il m’apparaît important d’en dire un mot maintenant. Alain Denoyelle s’est fait l’echo du mouvement du collectif de défense du Lycée Mounier (visite de soutien de JLM) qui subit l’acharnement, maintenant juridique (renvoi en correctinnelle pour faits mineurs, pétition ici ) du recteur mis en place par Nicolas S.. Sadok Bouzaïene quant à lui, personnalité franco-tunisienne qui connaïssait Chokri Belaïd assasssiné la veille en Tunisie et animateur régional du Front Populaire (tunisien) nous lut une déclaration appelant à un rassemblement de soutien à la démocratie tunisienne et au processus révolutionnaire.
Bon visionnage à touTEs.
Inauguration « politique » du local départemental… par bricomPG38org
Réélection de Rafael Correa • triomphe de la Révolution citoyenne
Je félicite très chaleureusement Rafael Correa pour sa réélection à la présidence de l’Equateur.
Avec plus de 56% des voix dès le premier tour, et plus de 30 points d’avance sur le candidat suivant, le président Correa remporte ainsi une éclatante victoire.
C’est un formidable triomphe pour la Révolution citoyenne équatorienne.
Il conforte tous ceux qui se battent pour un autre partage des richesses et pour que le peuple prenne le pouvoir, des deux côtés de l’Atlantique
Réélection de Rafael Correa • triomphe de la Révolution citoyenne
Je félicite très chaleureusement Rafael Correa pour sa réélection à la présidence de l’Equateur.
Avec plus de 56% des voix dès le premier tour, et plus de 30 points d’avance sur le candidat suivant, le président Correa remporte ainsi une éclatante victoire.
C’est un formidable triomphe pour la Révolution citoyenne équatorienne.
Il conforte tous ceux qui se battent pour un autre partage des richesses et pour que le peuple prenne le pouvoir, des deux côtés de l’Atlantique
Équateur • Le Parti de Gauche salue le raz-de-marée civique en faveur de Rafael Correa
Élu dès le premier tour avec plus de 30 points d’avance sur son adversaire de droite, et dans un contexte de hausse de la participation électorale, Rafael Correa a ouvert une nouvelle phase d’approfondissement de la Révolution citoyenne en Équateur. Fondée avant tout sur l’implication populaire impulsée par la convocation d’une Assemblée Constituante en 2007, la Révolution Citoyenne a permis des transformations profondes pour les Équatoriens. Pour le Parti de Gauche et la gauche en Europe, l’Équateur a prouvé qu’une autre politique était possible, comme la récupération de la souveraineté sur les ressources naturelles, la redistribution massive des richesses, ou la lutte pour la protection de l’écosystème à l’échelle mondiale.
La victoire de Rafael Correa et de son parti, PAIS, permet au Parti de Gauche d’avancer sur le projet de Forum Mondial pour la Révolution Citoyenne, initiative portée en commun par Jean-Luc Mélenchon, Rafael Correa et de nombreuses personnalités de la gauche mondiale.
Cette magnifique victoire est un formidable point d’appui pour tous ceux qui mènent la lutte pour la Révolution citoyenne en Europe et autour de la Méditerranée.
Équateur • Le Parti de Gauche salue le raz-de-marée civique en faveur de Rafael Correa
Élu dès le premier tour avec plus de 30 points d’avance sur son adversaire de droite, et dans un contexte de hausse de la participation électorale, Rafael Correa a ouvert une nouvelle phase d’approfondissement de la Révolution citoyenne en Équateur. Fondée avant tout sur l’implication populaire impulsée par la convocation d’une Assemblée Constituante en 2007, la Révolution Citoyenne a permis des transformations profondes pour les Équatoriens. Pour le Parti de Gauche et la gauche en Europe, l’Équateur a prouvé qu’une autre politique était possible, comme la récupération de la souveraineté sur les ressources naturelles, la redistribution massive des richesses, ou la lutte pour la protection de l’écosystème à l’échelle mondiale.
La victoire de Rafael Correa et de son parti, PAIS, permet au Parti de Gauche d’avancer sur le projet de Forum Mondial pour la Révolution Citoyenne, initiative portée en commun par Jean-Luc Mélenchon, Rafael Correa et de nombreuses personnalités de la gauche mondiale.
Cette magnifique victoire est un formidable point d’appui pour tous ceux qui mènent la lutte pour la Révolution citoyenne en Europe et autour de la Méditerranée.