Retraites – Manifestation Montauban le 10 Septembre
Journée d’action unitaire de grève et de manifestation
Mardi 10 Septembre
14h30 à la Préfecture de Montauban
TOULOUSE EN ROUGE CE 1er JUIN 2013
Passant du sarcasme au registre grave, il analyse les dangers que comporte ce fonctionnement européen tenu d’une main de fer par le gouvernement de droite allemand. Partout l’austérité avec son cortège d’exaspérations et de souffrances permet aux droites les plus réactionnaires de se réveiller. Chez nous les dernières manifs de droite ont cruellement rappelé les bien mauvais souvenirs des années 30. La période est périlleuse c’est pourquoi la gauche, plus que jamais, a besoin de citoyens conscients et informés.
LE 1 JUIN ENSEMBLE DISONS NON A L’AUSTERITE ET A LA FINANCE
A Toulouse :
Désert médical
Que diable le Front de Gauche du Lot allait-il faire ce 26 mai dans ce petit village au coeur des Causses du Quercy mais aussi au coeur du désert médical du département?
Il s’agissait par exemple, de mieux comprendre ce qui peut arriver à une maman dont l’accouchement se complique soudain alors que, depuis la fermeture de la maternité de Figeac, elle n’a plus le choix qu’entre Brive et Cahors. Trop loin l’un et l’autre! Un bébé déjà, n’y a pas survécu.
Par ailleurs à Durbans comme ailleurs, les difficultés d’accès aux soins relèvent de la même logique libérale qui voudrait que la santé soit gérée seulement par une logique comptable comme une marchandise.
Alors nous avons d’abord fait savoir, en musique, à Durbans, ses habitants et ses petis chemins d’habitude si calmes que les « Front de Gauche » du 46, du 82, du 12, du 19 et d’autres encore, avec Attac, la CGT, des associations locales…..refusent la marchandisation de la santé.
Notre modeste délégation représentait à la fois le PG82, Attac82 et l’Association des amis et usagers de l’Hôpital de Montauban (nous avons profité de leur présence pour attirer l’attention des intervenants locaux et nationaux sur le recrutement d’un seul radiologue ouvert par l’ARS alors qu’il y a 4 postes à pourvoir à l’hôpital)
Devant ce remue-ménage, même les ânes dans leur pré ont été pris au dépourvu.
Ensuite, après le goûter offert par le FdG 46 (les gâteaux faits maison auraient damné un saint!), on va phosphorer sérieux, les fesses dans l’herbe, avec des gamin-ne-s et des chiens qui galopent en liberté dans le champ où nous sommes. Le soleil nous chauffe un peu fort les neurones -quelle chance! – alors les organisateurs ont prévu d’abriter les intervenants qui sont venus jusqu’à Durbans
Marie-Laure Darrigade en charge des questions de santé au SN du PG
Chantal Dellac secrétaire de la section départementale 46 CGT santé
Michel Dauba économiste du PCF 46
Jean Scheffer membre de la coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité
Bernard Teper co-animateur du Réseau Education Populaire, membre du Conseil scientifique d’Attac et co-auteur du livre « Contre les prédateurs de la santé »
et Jean-Luc Mélenchon co-président du PG
Jean Scheffer a apporté sa vision panoramique des difficultés de l’ensemble des hôpitaux de notre pays: la rémunération à l’acte, la suppression généralisée de personnels titulaires palliée à minima par l’embauche d’intérimaires bien plus coûteux, la logique exclusivement comptable et commerciale des ARS, autant d’éléments qui creusent la tombe du service public pour le plus grand bénéfice des établissements privés. Il invite les militants à rapprocher leurs luttes, à s’inscrire dans les actions de la coordination nationale pour construire un véritable rapport de force susceptible de résister à la destruction systématique par le système libéral mis en place.
Chantal Dellac et Michel Dauba nous parlerons de la lutte qu’ils ont vécue de l’intérieur, pour défendre la maternité de Figeac . Mais la maternité a fermé! C’est l’illustration locale de la difficulté croissante d’ accès aux soins pour tous, partout et surtout en milieu rural où les distances et les moyens de transport compliquent souvent la situation.
Marie-Laure Darrigade reviendra sur l’indispensable coordination des luttes et décrira comment le PG avec tous les autres partenaires travaille à mailler le territoire d’un réseau d’information sur les luttes afin d’éviter, autant que faire se peut, des combats solitaires et construire des résistances plus larges
Avec une précision quasi chirurgirale, Bernard Teper illustre tous les mécanismes qui s’aggrègent pour détruire et l’hôpital public et la protection sociale. Selon lui, l’éducation populaire partout, tout le temps pour construire la révolution citoyenne.
Jean -Luc Mélenchon s’appuiera sur tous les apports précédents pour mettre en lumière les appétits financiers à l’oeuvre, les mouvements politiques de fond conduits par le gouvernement Hollande avec les institutions européennes. Il souligne les mensonges qui habillent ces politiques cruelles, la nécessité de citoyens informés pour les déjouer et il alerte:
ce sera pire si nous laissons signer le traité transatlantique européen !
Yvette Frot
merci à Patrice Meignan pour ses photos
AU DIABLE CES SOLFERINIENS !
LE 5 MAI ET APRES ?…ON CONTINUE
Je ne commencerai pas par discuter le nombre de participants. Ce débat sur les chiffres est stérile.
La question est : le Front de gauche a-t-il atteint ses objectifs qui étaient de mobiliser largement contre la politique d’austérité et pour une autre république démocratique, écologique et sociale ?
Je peux vous dire que nous étions venus de partout, parfois de loin. Jeunes et moins jeunes. Militants du Front de Gauche, du NPA, d’Europe Ecologie-les verts, d’Utopia et syndicalistes de la CGT et de Solidaires dont les organisations- fait assez rare- appelaient à participer à une manifestation politique. Mais aussi simples citoyens de toute la gauche. Tous qui ne se satisfont pas de la politique du gouvernement Hollande-Ayrault.
C’est notre réussite d’avoir mobilisé et bien au-delà du Front de Gauche.
Qu’avons-nous tous dit, sur tous les tons et sous toutes les formes ?
Qu’ont déclaré Pierre Laurent, Jean-Luc Mélenchon, Eva Joly et quelques autres…?
« Hollande, nous ne t’avons pas élu pour ça ! Pas pour continuer la politique libérale et de rigueur de Sarkozy.
Hollande, respecte le vote du peuple de gauche pour un vrai « changement », sinon tu es foutu : la droite et l’extrême droite auront ta peau et celles de tes amis ! Et ça ne nous fera pas plaisir, car ce que nous voulons ce n’est pas l’alternance mais une vraie politique alternative. »
Bien sûr une marche seule, fut-elle réussie, ne suffit pas à inverser le rapport de forces.
Aux résignés, à ceux qui hésitent à nous rejoindre, nous disons : « mobilisez-vous, rejoignez-nous car jamais de nouveaux droits ne furent donnés, il fallut toujours les prendre de haute lutte. »
Dès le 6 mai, le Front de Gauche a convenu d’un calendrier de mobilisation et d’élaboration politique.
D’abord des rassemblements à Paris, le 14 mai lors du vote de l’ANI au Sénat et le 16 mai lors de l’examen de deux propositions de loi du Front de Gauche, l’une sur l’amnistie sociale et l’autre contre les licenciements boursiers.
Puis, les 1er et 2 juin organisation de répliques régionales de la marche du 5 mai.
Le Front de Gauche dans son ensemble soutient l’initiative communiste d’assises d’une refondation sociale et démocratique de la République le 16 juin, probablement à Paris.
Citoyens, camarades, on lâche rien, on continue !
Vive la sociale !
Jeannine Meignan
Crédit photos : Mado.
Marche citoyenne pour la 6ème République : 5 Mai
Un déplacement en car à Paris le dimanche 5 mai , pour la marche citoyenne pour la VI eme République est prévu depuis Montauban.
La participation financière sur la base de 50 participants n’excèdera pas 50 euros.
– départ de Montauban le dimanche 5 mai ,vers 3 h du matin
– retour à Montauban le lundi 6 mai, vers 1h du matin
Vous pouvez vous inscrire dès à présent sur ce mail :
jeannine-patrice.mgn@wanadoo.fr
ou par téléphone : 06 47 11 53 85
en laissant vos Nom et Prénom avec un n° de téléphone qui permettra de confirmer .
Soyons nombreux!
Faisons le maximum pour que ce rendez-vous politique soit un succès au moment où la droite dure et extrême appelle à une nouvelle manifestation, le même jour, contre le « Mariage pour tous » et contre nous, la Gauche de progrès.
Contre vents et marées, la lutte contre la LGV reste pertinente, la mobilisation reste à l’ordre du jour avec l’Alternative LGV82
Une LGV pas confirmée
Donc une gare incertaine
D’où une ZAD pour bluffer
2005 : Un débat public décrète un besoin de ligne à grande vitesse (LGV) pour Bordeaux-Toulouse
2010 : Le premier fuseau est présenté et entraîne deux types de réactions :
– ceux qui se mobilisent pour faire varier le tracé dans le fuseau.
– ceux qui refusent totalement la LGV.
2011 : Le projet avance du fuseau vers le tracé.
2012 : Le tracé est confirmé avec deux réactions :
– ceux qui veulent réduire les impacts du tracé.
– ceux qui refusent totalement la LGV au profit de l’alternative.
Le refus de la LGV s’explique suite à diverses études engagées :
– cette LGV c’est le prix de 400 maisons de retraite, autant dire un gouffre financier (8 milliards d’euros).
– ce gouffre financier vise à faire gagner quelques minutes aux utilisateurs de la LGV (l’alternative, 2 milliards c’est aussi bien).
– pendant ce temps le train du quotidien qui concerne plus de 90% des utilisateurs est sacrifié (ex : la ligne par Limoges).
– il suffit donc, pour le bien de tous, de déplacer l’investissement de la LGV vers les lignes existantes ; ça coûte moins cher et le bénéfice concerne tout le monde.
Montauban-Bressols : Une ZAD pour bluffer
2013 : D’un côté c’est l’heure de l’enquête d’utilité publique et de l’autre les autorités gouvernementales changent de politique et constatent qu’il y a mieux à faire qu’une LGV.
Donc nous assistons à un bras de fer gouvernemental entre les défenseurs de la LGV et ceux qui proposent de retarder le projet en le mettant « au congélateur ».
Or, tant qu’il n’y pas de déclaration d’utilité publique personne ne peut dire que le projet est arrêté sinon à quoi bon cette consultation ? Et cette déclaration est attendue pour 2014 !!!
En conséquence, M. Baylet et Mme Barèges, unis pour une fois à M. Malvy, pratiquent la politique du fait accompli. Ils veulent faire croire que tout est en place, que tout commence.
Or cette ZAD est aussi ridicule que le projet de LGV ! Presque toutes les gares LGV en campagne sont restées des zones vides, désertes et désertés. On veut nous faire croire que 15 trains vont s’arrêter quand des membres des autorités municipales reconnaissent que ce nombre ne devrait pas dépasser 8, les autres trains ne s’arrêtant pas.
Et la délibération au sujet de cette ZAD confirme ce que nous disons puisque le projet est pour six ans seulement ! Preuve d’une incertitude qui n’obligeait pas à se précipiter. Pour ceux qui ne le savent pas, rappelons qu’à Montbartier une zone logistique de 450 hectares est déjà en place. Euro Centre à Castelnau d’Estrefonds c’est seulement 250 hectares !
Le rapport Bianco – La commission Mobilité
Après bien d’autres rapports nationaux issus hier de l’UMP, le rapport Bianco, issu aujourd’hui du PS, confirme ce que nous disons : PRIORITE ABSOLUE à la rénovation des lignes existantes.
A la fin du mois de mai, ou début juin, une autre commission gouvernementale va rendre son verdict quant à la hiérarchisation des projets de LGV.
Nous savons qu’elle travaille dans le même esprit que le rapport Bianco en proposant la réalisation des travaux engagés, et le report des autres projets. La seule incertitude c’est le poids des lobbies qui vont tenter d’obtenir un délai plus ou moins long pour la ligne Bordeaux-Toulouse.
Les citoyens doivent donc faire entendre leur voix. Pour aller de Toulouse à Paris c’est 676 km par Limoges et 824 km par Bordeaux. Il faut donc redonner plus de moyens à la ligne par Limoges pour qu’elle puisse continuer à rendre de grands services à moindre coût.
Et quant à la ligne actuelle Bordeaux-Toulouse elle a besoin d’investissements et en particulier nous sommes totalement favorable à la construction d’un tronçon Saint-Jory-Matabiau pour faciliter le développement TER, tronçon qui peut trouver place à côté de la ligne actuelle sans trop de dégâts (avec la LGV ils veulent même faire deux lignes en plus à cet endroit !).
L’essentiel c’est l’information. Celle des opposants aux projets est interdite dans l’essentiel de la presse locale. Nous vous renvoyons au blog d’Alternative LGV Midi-Pyrénées (demandez sur google) et à l’adhésion à cette association qui peut vous aider à réagir.
Télécharger le document de Alternative LGV 82
DEVELOPPEMENT DES TRANSPORTS FERROVIAIRES DU SUD OUEST
Le groupe de travail « transports » de Midi Pyrénées soutient le report modal de l’avion et de la voiture vers le train.
Mais, pour autant, il ne peut adhérer à des projets qui ne sont pas en cohérence avec son programme de transformation sociale et de planification écologique, et, particulièrement, le projet de LGV Toulouse- Bordeaux, qui impacte directement notre région.
Départements représentés dans le groupe de travail : Ariège- Gers- Lot- Hautes Pyrénées- Tarn- Tarn et Garonne
Avec le soutien des départements des Landes, des Pyrénées Atlantiques, du Lot et Garonne,
de la Gironde, de la Dordogne, de la Creuse, de la Vienne et de la Haute Vienne.
A) Nous ne pouvons cautionner :
1) Le principe de financement en Partenariat Public Privé des projets de liaisons LGV, Toulouse Bordeaux et Bordeaux Tours : Ce principe, sans risque pour l’investisseur, sur endette la collectivité et entérine la disparition d’un service public du rail.
2) Le coût de 7,8 milliards d’euros, prévu à ce jour, pour le projet LGV Toulouse Bordeaux, alors que la Cour des Comptes, en juillet déclarait : « Les nouvelles lignes LGV prévues, ne sont pas budgétairement soutenables, ni leur rentabilité financière, ni leur rentabilité socio- économique, ni leur intérêt environnemental ne sont établis… »
3) a) L’intensification du processus, déjà enclenché, dans notre région, de suppression des trains intercités et des arrêts dans les gares dites « secondaires », notamment aux heures de pointe ( du fait de budgets TER régionaux gelés, de coûts de fonctionnement non compensés pour cause de contrainte budgétaire).
b) Le manque d’entretien et de modernisation des lignes actuelles qui induit des transports de moins en moins performants, des pannes fréquentes et conduit inexorablement à la disparition des grandes lignes classiques nationales.
Ce qui a pour conséquences, l’enclavement des territoires ruraux et des petites villes, et le recours plus important à la voiture.
B) Nous nous inquiétons :
De l’impact humain et environnemental, généré par le grand chantier que ce projet de nouvelle infrastructure nécessiterait : disparition de terres agricoles (3700 ha) destruction de paysages (agression, voire, disparition de milieux aquatiques que la loi européenne sur l’eau impose de protéger), forte dépréciation non compensée de biens immobiliers, circulation au fort impact carboné d’engins de chantier, coupure des territoires traversés, atteintes à la biodiversité.
– De l’impact énergétique généré par le surplus de dépense nécessaire au fonctionnement des machines à très grande vitesse (nécessité de construire une nouvelle unité de production fonctionnant à l’énergie fossile, en contradiction avec le scénario négawatt soutenu par le PG)
– De l’impact sur l’endettement des Collectivités locales.
– De l’impact sur la répartition territoriale de l’emploi:Il est, en effet, avéré, que la grande vitesse survalorise les grands centres urbains, en y concentrant les administrations et les services, ce qui pénalise moyennes et petites villes, et accentue encore la désertification d’une majorité de territoires.
C) Nous contestons :
– la nécessité d’un tel projet et réfutons les arguments de RFF ; Contrairement à ce qui avait été annoncé, les études menées, en 2011, par le cabinet Claraco démontrent que :
– « La LGV Bordeaux Toulouse n’est pas justifiable par un problème de manque de capacité ; qu’il est impossible d’effectuer le trajet en 3 h, ainsi qu’annoncé, la vitesse de 320kms n’étant tenable que sur moins de 50% du parcours ; que les retombées économiques prévues ne sont pas vérifiées par la situation actuelle des zones d’activités implantées près des gares TGV existantes. »
– la perspective de créations d’emplois engendrés par le chantier et l’exploitation de la ligne. L’actualité des chantiers en cours nous démontre que la main d’œuvre employée est essentiellement constituée de travailleurs, non soumis au code du travail français, employés en CDD et sous- payés.
D) Nous proposons que la commission nationale « transports », en lien avec la commission « écologie » :
1- travaille à l’élaboration d’un projet de planification ferroviaire, assurant :
– L’entretien, la rénovation, la modernisation, le réaménagement et le développement du matériel et des infrastructures sur les lignes existantes (grandes lignes et lignes secondaires).
– L’amélioration des fréquences.
– Un maillage territorial équilibré et égalitaire.
– Le développement du fret et le retour au wagon isolé.
– Un retour à un service public du rail, bannissant tout financement privé.
– Une politique tarifaire transparente, garantissant à tous, un train de qualité, abordable (nécessité de repenser le principe de tarification) et dans des conditions de sécurité maximum.
2-réfléchisse à une résolution générale, concernant tous les projets de LGV, actuellement connus sur le territoire : Limoges- Poitiers, Bordeaux- Espagne, Bordeaux- Tarbes …
En ce qui concerne, plus spécifiquement le projet LGV BordeauxToulouse, nous demandons que le Parti de gauche s’empare,officiellement, du dossier, et affirme sa position critique.
Les alternatives existent, on sait faire !
rénover et aménager les lignes existantes, dont le POLT (Paris Orléans Limoges Toulouse) :
– Coût 4 fois moins cher (2 milliards contre 7,8 m)
– Gain de temps suffisamment attractif (d’autant plus que les 3h10 annoncés par RFF, ne sont tenables que sans arrêt entre Toulouse et Paris)
– pas de perte d’accessibilité, pour les usagers.
– pas de fracture du territoire…
Nous tenons à la disposition des camarades intéressés le projet détaillé de cet aménagement (*)
En conclusion :
Le Parti de Gauche défend un projet de société qui propose une alternative à nos modes de vie, à notre rapport au monde, et nous invite à réfléchir à nos comportements citoyens. Cette réflexion sur le futur des transports ferroviaires, ne peut- être envisagée sans une mise en perspective, selon des principes plus généraux :
– Réutiliser et adapter ce que nous avons déjà, plutôt que de créer toujours du neuf, ailleurs.
– Maintenir une gestion de service public.
– Aménager le territoire afin de répondre à l’intérêt général, et relocaliser l’économie.
– Sortir de la logique du « toujours plus vite », ainsi que de celle du « toujours plus » pour quelques uns, et du « toujours moins » pour le plus grand nombre.
(*) Rapport du cabinet indépendant Claraco
MEETING ANTI AUSTERITE 13 AVRIL A MONTAUBAN
le Front de Gauche organise un MEETING ANTI AUSTERITE
Plus d’info sur le tract : Tract MEETING 13 Avril 2013